Un essai de contentement personnel pour une vie plus fluide.
Une invitation à la compréhension de soi et à l'épanouissement avec les autres.
Une quinzaine d'exercices pratiques optionnels.
AVERTISSEMENT : Ce livre n'est ni classique ni politiquement correct. A rebours du stressant développement personnel de type "feu", la Voie de l'Eau est une invitation à l'humidité et à l'humilité. A la différence de tous ces livres de "bien-être" superficiels, la Voie de l'Eau nous convie à redécouvrir notre ÊTRE et notre Source originelle. Les exercices proposés sont optionnels mais il y a déjà suffisamment de réflexions pour changer et se changer. Face à la puissance de l'eau, nous nous retrouvons tout nu, ce qui n'est pas plus mal pour nous jeter à l'eau !
Présentation du livre
« Liquide inodore, incolore et transparent ». Cette définition de l’eau évoque des propriétés auxquelles nous ne voulons surtout pas ressembler. Nous souhaitons au contraire être coloré, savoureux et bien visibles ! Telles sont, pensons-nous, les caractéristiques de notre nature “supérieure”. L’eau va toutefois “eau-delà” de sa définition et ne peut in fine même pas être définie…
« Une goutte d’eau suffit pour créer un monde » a écrit Gaston Bachelard. Une goutte d’eau suffit en effet à nous remettre en question et, avec son trilliard de molécules d’eau, à élargir sensiblement nos perspectives…
Nous sommes constitués essentiellement de vide et d’eau mais faisons tout pour remplir le vide de nos existences et nous frotter au feu de l’action. Contradictions avec notre nature dans les deux cas et donc mal-être fondamental…
Le parcours de l’eau n’est pas semé d'embûches mais d’obstacles à contourner, d’expériences à mener, d’humidité à préserver. Le message de l’eau – solvant universel – est que l’ego peut facilement se dissoudre et notre vie devenir ainsi beaucoup plus fluide et limpide, notamment dans notre rapport aux autres, tout aussi remplis d’eau que nous !
La Voie de l’eau nous permet de voguer dans le bon sens, en direction de la sagesse voire de la spiritualité. La voie de l’eau est un merveilleux voyage vers ce que nous avons oublié : le respect de notre nature, la flexibilité face aux obstacles, la finalité de la Mer…
Voir la mer et mourir ? Prendre la perspective de l’eau, plutôt, et enfin revivre ! Nous nous sommes égarés voire échoués mais, en suivant le cours de l’eau, pouvons facilement réussir à nous remettre à l’eau, à enfin nous retrouver.
Le savez-vous ? H2O a tendance à être pris de haut mais l’eau est le Mystère fondamental, une « impossibilité scientifique » selon le physicien et chercheur allemand Wilfried Hacheney. Ses caractéristiques uniques et ses quelque 75 anomalies la mettent à l’abri de notre compréhension et de nos sciences inexactes. Voir mon ouvrage La qualité de l'eau (Ed. Médicis, 2020)
L’eau représente 65% du poids d’un corps humain. Sans eau, nous ne pesons pas grand-chose. Notre organisme est constitué d’environ 97% de molécules d’eau. Sans eau, nous ne sommes pas grand-chose. L’eau est la mesure de toute chose, ce qui nous rapproche de toutes les espèces, nous relie et nous lie avec le monde.
Avant propos
Première Partie : S'humidifier
Égoutter notre orgueil
Assumer son humidité
Plonger dans nos besoins
L’énergie de l’eau (première partie)
Des rêves aux besoins
Fluidifier nos défauts
Accepter ses polluants
Laver notre amour-propre
Comprendre le fond
Dissoudre notre égo
De la perfection à la plénitude
Seconde Partie : S'écouler
Flotter dans l’humour-propre
« S’humouriser »
Humidifier sa respiration
S’aérer
S’épancher dans le vide
Pratiquer le vide et le flow
Flotter dans la non-action
L’énergie de l’eau (deuxième partie)
Gérer les obstacles et la non-action
Diluer nos émotions
Passer des émotions aux sensations
Troisième Partie : Se relier
Noyer nos paroles (dans l’écoute)
Renouveler ses idées
Imprégner nos relations
Se relier à l’autre
Déverser le monde (en soi)
L’énergie de l’eau (troisième partie)
Apprendre à recevoir
Réfléchir le monde
Penser et panser les plaies
S’é-mer-veiller
Se connecter au merveilleux
Conclusion
La mémoire de notre eau
La stratégie de l’eau
Sommaire La Voie de l'Eau, une vie plus fluide
Avant-propos La Voie de l'Eau
« La perfection est comme l’eau » dit Lao Zi (8-1) mais nous pourrions en dire tout autant d’une fleur, d’une pierre ou d’un chevreuil. Tout est forcément parfait au regard de la Nature. Seul l’homme continue inlassablement de se chercher et, insatisfait de ne pas (se) trouver, développe des techniques, acquiert des ressources et détruit au passage son environnement… ce qui l’éloigne encore un peu plus de sa nature et de sa source.
« Liquide inodore, incolore et transparent ». Cette définition de l’eau évoque des propriétés auxquelles nous ne voulons surtout pas ressembler. Nous souhaitons au contraire être coloré, savoureux et bien visibles ! Telles sont, pensons-nous, les caractéristiques de notre nature « supérieure ». L’eau va toutefois “eau-delà” de sa définition et ne peut in fine même pas être définie…
La piètre qualité de l’eau de notre civilisation nous a fait “chlore” que l’eau n’était que la banale formule chimique H2O. C’est juste de l’eau et elle n’est même pas toujours potable ! L’eau va toutefois “eau-delà” de sa formulation et elle ne peut in fine même pas être comprise…
H2O a tendance à être pris de haut mais l’eau est le Mystère fondamental, une « impossibilité scientifique » selon le physicien et chercheur allemand Wilfried Hacheney. Ses caractéristiques uniques et ses quelque 75 anomalies la mettent à l’abri de notre compréhension et de nos sciences inexactes. Face à l’eau, nous nous retrouvons tout nus, ce qui n’est pas plus mal pour nous jeter à l’eau !
L’eau représente 65% du poids d’un corps humain. Sans eau, nous ne pesons pas grand-chose. Notre organisme est constitué d’environ 97% de molécules d’eau. Sans eau, nous ne sommes pas grand-chose. L’eau est la mesure de toute chose, ce qui nous rapproche de toutes les espèces, nous relie et nous lie avec le monde.
L’eau devrait être source d’inspiration mais c’est également et avant tout une formidable source d’énergie. La Voie de l’eau n’est ainsi pas nécessairement de « se la couler douce ». L’eau est paradoxalement forte de son apparente faiblesse, capable de contourner chaque obstacle mais aussi de creuser la pierre, d’être la vie mais d’apporter parfois la mort, d’être liquide mais également solide ou gazeux. L’eau, jamais identique, ne se laisse pas saisir et c’est aussi en cela qu’elle se rapproche de l’homme. Aqua et homo complex.
Nous allons voir ensemble quelques caractéristiques étonnantes de l’eau et comment il est possible de nous en inspirer afin de rendre nos vies plus fluides et limpides.
La Voie de l’eau nous permet de voguer dans le bon sens, en direction de la sagesse voire de la spiritualité. La voie de l’eau est un merveilleux voyage vers ce que nous avons oublié : le respect de notre nature, la flexibilité face aux obstacles, la finalité de la Mer…
Voir la mer et mourir ? Prendre la perspective de l’eau, plutôt, et enfin revivre ! Nous nous sommes égarés voire échoués mais, en suivant le cours de l’eau, pouvons facilement réussir à nous remettre à l’eau, à enfin nous retrouver.
Extraits La Voie de l'Eau
Extrait I : Egoutter notre orgueil
Notre essence est eau et cette pensée devrait nous aider à rendre nos rapports un peu moins nauséabonds et visqueux, un peu plus limpides et transparents. Nous partageons l’essentiel et l’essence du ciel. De l’eau intracellulaire à la sueur de nos visages, l’eau est ce qui nous ressemble et nous rassemble le plus. Pourquoi donc tenter d’imposer notre eau face à celle des autres alors que toute eau s’écoule et rejoint un jour la mer ?
Notre eau serait-elle "supérieure" ? Le sens de l’eau est pourtant vers le bas. L’eau descend alors que nous souhaitons monter et notre mal-être “intrinsec” découle évidemment de ce conflit interne. Plutôt que de paraître, il faudra bien un jour finir par être et reconnaître notre humidité fondamentale.
Notre civilisation est celle des impostures et donc des imposteurs. Nous vivons dans l’illusion de l’être parfait qui travaille encore à son amélioration via son “développement personnel” qui le sortira du lot sinon de l’eau.
Dans le même temps, nous sommes atteints du “syndrome de la couche-culotte” : la couche chimique – qui nous laisse au sec – nous préserve de l’effort et nous donne l’illusion de la vertu alors, qu’en vérité, l’épanouissement n’est possible que si l’on accepte de commettre des erreurs. Trop de confort artificiel, trop de bien-être superficiel, nuit à l’expression de notre nature-eau. Il faut des contrariétés et des pleurs dans la vie. Il faut des urines et des erreurs par terre, pour la fertiliser !
Le développement personnel ou la recherche de notre petit confort via de multiples couches-culottes ne va pas dans le sens de l’eau mais dans celui de l’ego : essayer de monter ou de se protéger nous place dans un lieu aride, trop sec pour l’expression de la vie.
La Source est miraculeuse et nous la partageons avec les autres. Elle s’exprime en nous via l’eau et nous indique la direction de la reconnexion. C’est en retrouvant le contact avec le sol que l’on gagne en perspectives et en hauteur. S’accroupir afin de mieux s’accomplir. « Haut et bas mutuellement s’inclinent » dit Lao Zi (2-6).
C’est ainsi, en oubliant sa personnalité artificielle, en tombant le masque, en dépassant le paraître, que l’on peut devenir ce que l’on a toujours été : essentiellement de l’eau avec un peu de sel. Le sel de la vie, qui attire et retient l’eau…
Assumer son humidité
Combien de couches-culottes utilisons-nous au cours d’une journée afin d’éviter d’affronter notre humidité naturelle ? Prenons-nous souvent la posture de l’imposteur en faisant croire que nous sommes “plus” ou “mieux” ? Visons-nous le développement "feu" ou l’épanouissement "eau" ?
Que risquez-vous à retirer votre protection artificielle ? Être induit forcément risques, erreurs et inconforts. Je ne peux tout "paraître", je ne peux tout savoir (sinon que je ne sais rien) et je ne peux tout bien faire à moins de ne pas faire grand-chose et de finir stagnant, en dégénérescence, prêt à m’infecter. Chaque jour, retirez une couche et vous finirez in fine par apparaître ! Être homme, c’est être homo-humus et donc souple et humide, en mouvement. Je pense donc je suis… la Voie de l’eau !
Extraits II : S'épancher dans le vide
Nous sommes des hommes d’affaires : ayant peur du vide, nous nous affairons à accumuler des affaires... en contradiction avec notre nature fondamentale constituée à 99,99%... de vide ! [...]
Nous vivons beaucoup trop sérieusement. Nous sommes mus – dans le vide – par une vision utilitariste de l’existence : il y a encore plein de biens matériels à acquérir, plein d’expériences – nécessitant du matériel – à accumuler. Il nous faut faire le plein et donc remplir le vide de nos habitations mais également celui de nos emplois du temps, ce qui passe par une très sérieuse sélection de nos divertissements. Et nous avons d’autant plus besoin de nous distraire que nos vies sont encombrées de choses trop lourdes à supporter.
Plutôt que d’essayer de nous distraire, nous aurions plutôt intérêt à être distraits. Absent à l’extérieur, distancié de son ego, connecté à son eau intérieure, le distrait – absent minded en anglais – est un étourdi virevoltant dans le vide, absorbé par la dépression de sa vacuité fondamentale.
« C’est dans la profondeur et non dans l’extérieur [que le sage] puise sa connaissance. C’est dans le dedans et non dans le dehors qu’il puise son amour. » (72) Le taoïsme et les spiritualités ésotériques – c’est-à-dire relevant de l’intérieur – sont ainsi à l’opposé des traditions exotériques religieuses, centrées sur l’extérieur et les actions des hommes, sur le « c’est bien » ou le « c’est mal » mental plutôt que sur “l’absence minded”.
« Demandez, et l’on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l’on vous ouvrira », dit la Bible. Ne demandez rien, dit le taoïsme, ne cherchez pas et ne frappez surtout pas : la porte a toujours été ouverte ! Nulle attente, intention ou prétention ainsi chez le sage taoïste pour qui l’œuvre est sa vie elle-même et qui évolue dans le vide, comme une vague dans l’océan. [...]
La notion de flow experience a été traduite en français par “Expérience flot” ou “Expérience optimale”. Idée de l’eau d’un côté, de performance de l’autre… Dans certaines circonstances, toutes les énergies et les pensées d’un individu semblent couler de source et forment alors un courant continu que l’individu ressent et contrôle, mais dans lequel il s’abandonne avec enchantement. Ce type d’action, de fluidité mentale au service d’une activité, comporterait huit caractéristiques majeures dont une absence d’ego (la préoccupation de soi disparaît) et une perception du temps altérée (le temps s’écoule tout seul). [...]
Danser, chanter, se promener, se suspendre dans un hamac… ou ne rien faire ! Mais attention : ce Droit à la paresse (Paul Lafargue, 1880) ou cet Éloge de la paresse (Eugène Marsan, 1926) n’a rien à voir avec la passivité du spectateur devant sa télévision. L’idée est de retrouver et de reprendre le rythme de sa nature-eau et non de se distraire à tout prix via n’importe quoi. Se reconnecter à soi et à son eau et non se connecter une fois de plus au système, pour sa petite dose de série-distraction !
Pratiquer le vide et le flow
La vie est une affaire trop courte pour ne pas être un jeu. S’amuser est synonyme pour certains de perte de temps mais comment exactement prendre du temps pour soi pourrait-il être une perte de temps ? Ne serait-ce pas plutôt la définition de tout ce temps passé à l’extérieur de soi, à essayer d’accomplir des choses pour le seul prestige de son ego ? [...]
Mettez de la fluidité, de la futilité et de la légèreté dans votre vie, à l’image du pêcheur à la ligne taoïste qui, légèrement imbibé d’alcool de riz, vogue dans le flow de l’eau. Les activités les plus susceptibles d’entraîner le flow sont les exercices corporels (arts martiaux, yoga, méditation, danse…), les activités créatrices (écrire, peindre, composer, inventer, trouver…), les travaux manuel (jardiner, cuisiner, bricoler,…), les rêveries distraites et solitaires... Bref, toutes les activités qui me font oublier l’heure qu’il est et que j’ai plaisir à accomplir, sans prise de tête, indépendamment du résultat. « Se retirer une fois l’œuvre accomplie est le Tao du Ciel » (9-5) mais se retirer dans l’accomplissement de l’œuvre est la voie de l’eau.
Laissons l’eau s’exprimer un peu plus en nous. Respectons notre nature et soyons naturellement plus joyeux, dans l’appréciation distraite du moment présent. Amusons-nous à régulièrement nous abandonner à la rêverie, à jouir du vide et du potentiel de l’instant : le vide est le seul endroit où il est possible de virevolter ; le présent, le seul moment où il est possible de ne rien faire et c’est pourquoi il s’agit d’un cadeau !
Extrait III : Imprégner nos relations
Nous sommes tous semblables, tous humains, tous constitués de la même glaise, du même humus, de la même eau. Nous avons tous en nous la Nature-Eau-de-Bouddha. Voilà qui invite à la fraternité et à la compassion.
D’un autre côté, nous sommes tous uniques : nous avons tous une histoire et des circonstances de vie différentes. Notre eau s’est structurée via les expériences et les pensées traversées. Tout est logique au regard de ce qui a été vécu et, si nous avions vécu, autre chose, nous serions structurés différemment. Voilà qui invite à la tolérance et à la compréhension.
Attendre de l’autre qu’il soit un autre, qu’il soit, tout autant que moi, autre. Prendre l’altérité comme dénominateur commun. Alors je ne peux plus être surpris et il n’y a plus de prise pour la moindre rancune. Autrui étant autre, il est normal qu’il agisse et réagisse différemment.
La rencontre des eaux crée l’Amazone – le fleuve le plus puissant de la planète – mais les deux eaux ne se mélangent pas sur des dizaines de kilomètres. Les différences d’énergie et de bagages étant très différentes, il faut s’apprivoiser avant de constater que l’on partage finalement l’essentiel.
« Sans comparaison, nul ressentiment » (3-1) Orgueil démesuré et ego boursouflé d’un côté, manque de confiance en soi et dévalorisation de l’autre, la comparaison est toujours illusion. La trajectoire d’autrui est toujours différente… et donc incomparable ! Comment donc comparer le cheminement de gouttes d’eau dans une rivière ? Les premières écoulées ou évaporées seraient-elles supérieures aux autres ? L’eau des flaques est-elle moins eau que l’eau de source ? L’essentiel n’est pas la destination mais l’appréciation du cheminement, à son rythme.
Se relier à l’autre
Face à toute personne, essayons de voir au-delà du paraître et connectons-nous à son eau. Est-ce une eau sereine ou bouillonnante, une eau plate ou gazeuse, une eau chargée d’énergie à priori positive, négative ou juste ? Dans la plupart des cas, en pratiquant la bienveillance, en gardant à l’esprit que je suis tout aussi rempli d’eau – principe d’humidité et d’humilité – nous devrions réussir à apaiser et à valoriser notre eau commune. Nous avons par contre peu d’intérêt à polluer notre eau avec des pensées agressives ou des insultes. « Qui insulte infecte son eau ».
L’hygiénisme a remplacé la religion dans le rejet du corps. Notre sens du toucher est à risque : non seulement les gestes barrières réduisent à peau de chagrin nos contacts de l’eau mais les lavages incessants nous font littéralement risquer notre peau. Or qui a mal à sa peau est bientôt mal dans sa peau. Soumis au virus de la peur, nous asséchons nos vies, envenimons nos relations et fragilisons nos défenses immunitaires.
D’où l’importance des massages et des techniques manuelles afin de retrouver le contact, dénouer les tensions et détendre l’organisme, indispensable avant tout message adressé au mental. La meilleure formation n’est ainsi pas intellectuelle mais tactile : initiez-vous au massage puis pratiquez sur vous-même, vos enfants et votre conjoint. Jusqu’à finir en cons joints ? La sexualité épanouie requiert moins de cons que de « co-joints » : il faut être deux pour réussir, in fine, via le toucher de l’amour et l’amour du toucher, à ne faire plus qu’un.
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La Voie de l'eau de Benoît Saint Girons, Ed. du Mendiant, 2024, 83 pages
Ce livre de contentement personnel est disponible en format e-book ou broché aux tarifs respectifs de 5,80 et 8,80 euros TTC.
Sur Suisse, il est normalement disponible auprès de l'auteur au tarif de CHF 8,80 + port.
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Site sur les livres de Benoît Saint Girons : www.lemendiant.fr
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