Les solutions pour une eau au naturel sans plastique et sans risques.
De l'eau du robinet polluée à l'eau propre biocompatible.
Le livre pratique de référence !
AVERTISSEMENT : Ce livre n'est pas politiquement correct. Non seulement l'auteur n'encense pas l'eau du robinet (qu'il ne considère pas comme écologique mais plutôt comme une excellente base de travail) mais il s'en prend aux embouteilleurs et même aux médecins, absolument pas formés à la qualité de l'eau et qui continuent (par exemple) à recommander des minéraux inorganiques très mal assimilables... Résultats ? Des eaux délétères (à plus ou moins long terme) que nous n'avons pas plaisir à boire et une deshydratation chronique des citoyens !
Pas une semaine ne passe sans que l'on détecte un nouveau polluant dans l'eau... Les techniciens s'arrachent les cheveux, les embouteilleurs se frottent les mains et les citoyens ne savent toujours pas comment faire pour améliorer les choses. En l'état des pollutions, la qualité de l'eau est une affaire individuelle et il y a évidemment mieux à faire que les bouteilles en plastique. Mais comment se repérer dans toutes les solutions, alors que chaque vendeur prétend avoir le meilleur produit ? D'où le livre ! Après avoir expliqué les véritables critères de la qualité de l'eau (énergétiques et pas seulement physico-chimiques), l'auteur passe en revue les différentes solutions de filtration et de dynamisation pour retrouver une eau au naturel... et le plaisir de boire !
Les normes de la potabilité sont en berne (nitrates, pesticides, minéraux,...) et assez peu restrictives.
Nous sommes hétérotrophes et donc incapables d'assimiler les minéraux inorganiques des eaux.
L'eau pure n'existe qu'en théorie (ou pour le marketing) et serait problématique pour la santé.
Noté -20/20 et référence négative, l'adoucisseur à sodium est l'un des plus grands scandales de l'eau.
Toutes les solutions de filtration ne se valent pas et toutes les dynamisations encore moins !
Le savez-vous ? 70% des Français seraient en déhydratation chronique avec 2-3 verres d'eau par jour seulement. La mauvaise volonté n'est pas en cause. Le problème réside intrinsèquement dans la qualité de l'eau qui nous est proposée: polluée (PFAS, résidus médicaments, pesticides, nitrates, minéraux inorganiques,...), alcaline (pour protéger la tuyauterie) et oxydée (à cause du chlore), notre organisme naturellement la rejette ! La gageure est ainsi de retrouver le plaisir de boire et ceci passe, n'en déplaise aux "scientistes" par une prise en compte de l'énergie de l'eau c'est-à-dire sa qualité biologique !
Après (idéalement) lecture du livre ou du site,
l'auteur répond à toutes vos questions !
+41 (0)76 532 8838 bsg@solutionsbio.ch
Sur l’eau
• L’eau est H2O / Caricatural !
• L’eau est aqua simplex / Simpliste !
• L’eau est étudiée / Oui mais comment ?
• L’eau est scientifique / En partie seulement…
• L’eau est spiritualité / Clairement !
• L’eau est le monde / Et plus encore…
• L’eau est la vie / Naturellement !
• L’eau est énergie / Tout est énergie !
Sur la qualité de l’eau
• Qualité = Absence de risque / A l’échelle de la planète, oui !
• Qualité = Potabilité / Pas seulement
• Qualité = Respect des normes / Erreur de technocrates…
• Qualité = Technologie / La belle blague!
• Qualité = Marketing / Sérieusement ?
• Qualité = Bon goût / Trop facile !
• Qualité = Absence de calcaire / Surtout pour les installateurs sanitaires…
• Qualité = Pureté / Seulement en théorie ou en marketing…
• Qualité = Minéraux / Oui mais pas comme on le pense…
• Qualité = Eaux en bouteille / Surtout pour les embouteilleurs…
• Qualité = Petits clusters / Existent-ils seulement ?
• Qualité = Energie / Globalement oui !
• Qualité = Eau au naturel / Nous y voilà !
L’eau en pratique
• Il est facile de se débarrasser du chlore / En fait non
• Avant d’être bue, l’eau devrait avoir été bouillue / Mauvaise rime !
• L’eau chaude est quand même meilleure / Dégoût et des douleurs…
• L’eau pétillante est plus digeste / Elle est surtout plus fun !
• Il convient de varier ses marques d’eau / Ridicule !
• L’eau alcaline est meilleure pour la santé / Absurde !
• Il faut boire 1, 5 litre d’eau par jour / Oui mais de quelle qualité ?
• Il convient de boire quand on a soif / Non, avant !
• La filtration de l’eau est essentielle / …ment contreproductive !
• La filtration permet d’éliminer les polluants / Cela dépend…
• Il est facile de dynamiser l’eau / Oui et non
• Dynamiser une eau polluée est une mauvaise idée / Ne rien faire encore plus !
• Les vendeurs de solutions eau sont sincères / D’accord mais sont-ils compétents ?
• La qualité finale de son eau est une responsabilité individuelle / Absolument !
Sommaire Qualité de l'Eau
Première Partie : Eau-delà des préjugés
La première partie, sous forme de questions-réponses, limite la prise de tête et permet immédiatement d'y boire un peu plus clair.
Ces questions sont rarement posées : quand parle-t-on qualitativement de l'eau dans les médias ? On en parle de manière quantitative (la pénurie d'eau, les guerres de l'eau,...) ou ponctuellement pour dénoncer quelques polluants sélectionnées (PFAS, résidus de pesticides, plastique,...) mais la confusion globalement prédomine et pas grand monde ne sait au final quelle eau il devrait boire...
Les critères qualitatifs de l’eau
• Louis-Claude Vincent et la science qui dérange…
• Viktor Schauberger et l’eau vivante...
• Marcel Violet et l’énergie cosmique…
• Vers l’eau parfaite…
Les différentes qualités d’eau courante
• Eau de source artésienne à la source : la référence qualitative !
• Eau de source en bouteille : la référence à domicile ?
• Eau minérale à la source : l’eau de santé!
• Eau minérale en bouteille : les manipulations du marketing.
• Eau distillée : le mythe de la pureté…
• Eau du robinet : la base de travail !
• Eau de pluie : une alternative ?
Vers une consommation responsable
Seconde Partie : La vraie qualité de l'eau
Nous voici rendu au cœur du débat (et du livre): les critères de potabilité rendent l'eau "potable" mais, n'en déplaise au marketing des régies ou des municipalités occidentales, ce n'est pas cela la qualité de l'eau !
Celle-ci s'apprécie en premier lieu - grâce à la Bioélectronique de Louis-Claude Vincent - via quelques paramètres physico-chimiques de base : mesure du pH, mesure du potentiel redox (pour calculer le rH2) et mesure de la teneur en minéraux (résistivité). Avec ces 3 mesures, nous savons si l'eau est véritablement biocompatible - c'est-à-dire adaptée aux besoins de l'organisme - ou non.
Dans un second temps, les perspectives peuvent encore s'élargir via les tests biologiques. Pas besoin alors de s'enfermer dans un laboratoire : goûter l'eau suffit à percevoir la différence énergétique Avant-après sous la forme d'une eau beaucoup plus douce et agréable à boire.
Avec l'eau "parfaite" en perspective et 8 critères retenus, il nous est en tout cas possible - et pour la première fois dans un livre - de donner des notes aux différentes catégories d'eau. L'eau de source artésienne est la référence, l'eau du robinet la base de travail pour mettre en œuvre les solutions concrètes et pratiques !
Les solutions dangereuses non recommandables
• La pire solution : l’adoucisseur à sodium
• Les bonbonnes à eau : la mauvaise idée des entreprises
• Les appareils à eau ionisée : le coût et le risque thérapeutiques
• La carafe filtrante mal utilisée : le goût du risque
• Les fontaines filtrantes : le coût et l’encombrement en prime…
• Le distillateur : le coût de la pureté…
Les solutions de filtration
• Les filtres à charbon actif en granules (1ère génération)
• Les filtres à charbon actif en bloc (2ème génération)
• Les osmoseurs sans dynamisation
• Les osmoseurs avec dynamisation
• L’ultrafiltration avec dynamisation
Les solutions de dynamisation
• Les solutions simples et naturelles
• Le petit tube plastique à vortex : au boulot !
• Les carafes dynamisantes : la beauté de l’eau.
• La bouteille i9 ou Vitbot : de l’énergie partout!
• La cruche à vortex : le mouvement de la nature…
• L’électrode Bignand-Violet : l’énergie cosmique…
• L’eau hydrogénée : l’eau la plus anti-oxydante au monde !
• La douche géothermale : le respect de la peau
• Le GIE ou le Voda : l’énergie au naturel sur tous les robinets.
• Le Biodynamizer : copier la nature !
Le nec plus ultra
• Point d’eau unique : osmose inverse + approche "thérapeutique"
• Ensemble des canalisations : biofiltration et biodynamiseur
• Solutions budget : l’efficacité à moindres frais.
• Extérieur : le remplissage en magasins
Troisième Partie : Les solutions pratiques
Cette dernière partie est la valeur ajoutée du livre... et celle qui me vaudra aussi le plus d'animosité et d'attaques... Pour la première fois en effet, les solutions sont clairement notées... et les notes varient de -20 à +18/20 !
Ce grand écart s'explique par la méconnaissance globale de la qualité de l'eau, la rentabilité de ce secteur d'activité et les travers du marketing. Sans compréhension de base, on a ainsi une forte chance de se faire avoir.
Naturellement, ce classement est en partie subjectif et tous les systèmes n'ont pu être testés ou notés mais les catégories principales sont énumérées et les critères permettent de lancer la réflexion et donc l'esprit critique : qualité de la filtration, minéraux, dynamisation, impact santé, écologie, coût et usage sont autant de paramètres à prendre en considération. Alors la juste solution - celle adaptée à sa situation - peut être trouvée !
Avant-propos Qualité de l'Eau
Pourquoi parler de « qualité de l’eau » ? L’eau n’est-elle pas toujours de l’eau, aqua simplex, H2O ? À l’échelle de la planète, n’avons-nous pas, en Occident, la chance de disposer à tous les robinets d’une eau potable de qualité ?
Les derniers scientifiques à s’être intéressés de près aux propriétés de l’eau – Jacques Benveniste dans les années 1980 et le prix Nobel Luc Montagnier trente ans plus tard – n’ont-ils pas été à juste titre ridiculisés par la communauté scientifique ?
Et si les médecins ne reçoivent quasiment aucune formation sur l’eau – qui représente 70 % du poids d’un corps humain et plus de 99 % des molécules de ses cellules –, n’est-ce pas simplement parce que toute cette eau va de soi ?
Pourquoi donc ouvrir le débat de la qualité ? Il serait tellement plus simple de s’en remettre à la simplicité de l’eau, à la transparence des pouvoirs publics, à la pureté des messages du marketing. Bref, de laisser couler…
Mais si l’eau, en coulant, est capable de creuser la pierre, ne peut-elle également contourner et dépasser les préjugés et les malentendus ? C’est l’avantage de cette notion de qualité : elle impose la subtilité. Impossible avec elle de rester sur le manichéisme bien/mal, polluée/pure, robinet/bouteille.
À y regarder de plus près, au-delà des paramètres officiels, on perçoit une eau échauffée par ce qui lui arrive, cristallisée par le dogmatisme, troublée au point d’être parfois imbuvable.
La majorité des problèmes de peau sont dus à une qualité d’eau potable chlorée et donc (très) oxydante. La peau est asséchée et irritée, d’où le recours aux crèmes hydratantes et autres antirides. L’industrie de la cosmétique et son marché de plus de 200 milliards d’euros n’ont aucun intérêt à ce que l’on améliore la qualité de l’eau.
Une bonne proportion des problèmes de santé proviennent également d’un manque d’hydratation. Peu de gens arrivent à boire la quantité d’eau nécessaire au bon fonctionnement de leur métabolisme et système immunitaire. Les laboratoires pharmaceutiques et leur marché de plus de 1 000 milliards d’euros n’y ont donc aucun intérêt non plus.
Pas davantage que les embouteilleurs et leur marché de 150 milliards d’euros, puisque l’essentiel des ventes d’eau en bouteille – quatre verres consommés sur dix en France – découle d’une perception négative de l’eau du robinet traitée et polluée…
Nous ne sommes pas ici dans la théorie du complot mais devant un simple constat : les pouvoirs publics ont la responsabilité de prévenir tout risque sanitaire. Peu coûteux et faciles à mettre en oeuvre, chlore et ozone sont utilisés afin de contenir autant que possible bactéries et autres virus. Mais ces oxydants majeurs irritent et assèchent… ne permettent pas une bonne hydratation… entraînent ainsi des problèmes de peau et des pathologies sur le long terme… ce qui arrange indirectement de nombreux intérêts économiques.
Il n’y a pas de complot. Il y a juste un avantage économique, financier, et donc in fine politique à ne pas parler de la qualité de l’eau. Cette omerta est de loin le principal scandale de l’eau !
Nous en verrons malheureusement beaucoup d’autres avant de pouvoir ouvrir une perspective enthousiasmante sur un autre paradigme de la santé et de la vitalité. Car cela coule de source : nous sommes mal en point parce que nous maltraitons l’eau. Améliorons enfin sa qualité et nous irons tous beaucoup mieux !
Genèse Qualité de l'Eau
Je m'intéresse à l'eau depuis 2002 et la création de notre Centre Oasis, qui proposait alors les meilleurs thés chinois et cafés de Genève. Difficile, sans qualité de l'eau, de rendre justice à ces boissons très aromatiques. Notre approche était toutefois alors limitée à l'aspect physico-chimique : la filtration et c'est tout !
Quelques années plus tard, après avoir biffurqué vers les thérapies naturelles, je tombais (sans me faire mal), lors d'un salon à Lausanne, sur une technologie novatrice. Ce fût la révélation : l'eau ne se limitait pas bêtement à H2O mais recélait une dimension énergétique essentielle. J'ai consacré une bonne partie de l'année suivante à me documenter afin de bâtir le site www.eaunaturelle.ch, référence exhaustive d'information sur l'eau de qualité.
Dans le même temps, je nouais des liens avec les fabricants ou distributeurs des appareils qui me semblaient les plus pertinents, jusqu'à acquérir la perception de ce qui fonctionnait... et de ce qui fonctionnait nettement moins bien ! Eh oui, les arnaques de l'eau sont légion et il est clair que, sans information et recul, les risques de se faire avoir sont maximales. Ce livre découle ainsi du souhait de donner les pistes et les critères afin d'y boire enfin un peu plus clair !
Il existe quantité de solutions pour améliorer son eau "potable" du robinet mais il n'existait aucun livre donnant les clefs et les critères pour s'y repérer. Le livre de Yann Olivaux La Nature de l'Eau liste bien la majorité des « Procédés de Structuration de l’Eau » (PSE) de l'époque mais via uniquement les informations communiquées... par les fabricants ou distributeurs !
Face à un fabricant, c'est pourtant simple: le produit est forcément le meilleur au monde ! La plupart des fabricants de systèmes de filtration se targuent ainsi d’obtenir une eau pure via… un mensonge publicitaire ou un abus de langage ! En réalité, aucun système ne permet d’obtenir une eau pure et il convient de se méfier tant des analyses-marketing (voir le scandale des filtres Berkey).
Comment donc démêler le marketing de la réalité ? Je ne prétends pas avoir la science infuse - voire la science tout court - mais j'ai le mérite d'avoir testé et vendu suffisamment d'appareils ou de dispositifs différents pour savoir ce qui fonctionne... et ce qui fonctionne nettement moins bien.
A ce jour, dans les faits, aucune solution n’est parfaite ou polyvalente. Un minimum de choix, de recul, de souplesse et de réflexion sont nécessaires pour investir dans l’appareil qui correspond à sa configuration, à ses besoins… et à son budget.
Le livre se devait donc être pratique et centré sur les meilleures solutions. Celles que nous proposions et testions au quotidien dans nos deux centres mais également celles en train d'être développées...
J'avais reçu beaucoup de commentaires élogieux à propos du site mais aussi quelques critiques : trop lourd, trop gros, trop peu clair... Son objectif était en effet d'être relativement exhaustif. Du coup, sa lecture requiert un bon investissement temps, sans parler du temps ensuite de la compréhension...
La qualité de l'eau nécessitait un livre. En mains, sur papier, la lecture est tout de même beaucoup plus fluide... et la compréhension d'autant facilitée.
Un livre a aussi le mérite d'être disponible à l'extérieur de sa "bulle", d'être visible en librairie, de pouvoir toucher des personnes pour qui la question de l'eau jusqu'alors ne se posait pas. Un livre a le potentiel d'initier quelques débats voire - on peut toujours rêver - de conduire à une prise de conscience salvatrice.
Car ne nous y trompons pas : le système s'abreuve de la piètre qualité de notre eau ! Changeons notre eau et il nous sera possible d'envisager un autre paradigme de la santé et de la vitalité. L'objectif n'est pas d'accéder à une eau théoriquement "parfaite" mais de retrouver enfin le plaisir de boire. C'est le seul moyen d'être correctement hydraté.
Globalement, il sera également toujours moins couteux d'investir dans un système de filtration et de dynamisation performant que de stresser face à son eau (au risque alors de tomber malade) ou de faire la queue au supermarché avec son pack de bouteilles plastiques.
La qualité de l'eau requiert un petit effort de notre part mais cette énergie investie nous sera retournée au centuple. Car cela coule de source : nous sommes mal en point car nous maltraitons l’eau. Améliorons enfin sa qualité et nous irons tous beaucoup mieux !
Extraits Qualité de l'Eau
Extrait I : l'énergie de l'eau
Je préparais une conférence sur l’eau dans le cadre du mouvement Alternatiba lorsque je fus pris à partie :
– Vous racontez n’importe quoi, il n’y a pas d’énergie dans l’eau !
– Ah bon, il n’y a pas de protons ou d’électrons ?
Mon interlocuteur – qui travaillait pour la régie distributrice de l’eau – préféra s’éclipser discrètement…
Depuis les découvertes de la physique quantique, il est possible – au nom de la science et non plus de la simple intuition spirituelle – de clouer le bec de tous les matérialistes dogmatiques : « Comment cela pas d’énergie ? Tout n’est-il pas énergie ? »
De l'électricité aux ondes électromagnétiques en passant par – excusez du peu – la cohésion et la stabilité des atomes et autres molécules constitutifs de la matière et du vivant, l'électromagnétisme englobe des domaines d'investigations considérables. Tout, en réalité, est électromagnétisme c'est à dire interactions entre particules chargées électriquement.
Comment l’eau H2O y échapperait-elle ? L’atome d’hydrogène formé d’un unique proton électropositif entouré d'un électron électronégatif tournant autour à la vitesse de la lumière ? De l’énergie ! La liaison atomique entre les deux hydrogènes positifs et le gros oxygène négatif ? Encore de l’énergie ! Les 1000 milliards de liaisons hydrogènes à la seconde entre les molécules d’eau ? Toujours de l’énergie !
Faut-il que l’énergie de l’eau dérange pour nier à ce point le b.a.-ba scientifique ? [...]
Bref, si tout – et notamment la santé – est énergie et si l’eau représente l’essentiel d’un corps humain, alors la qualité de l’eau ne repose-t-elle pas avant tout sur sa qualité énergétique ? C’est ce que nous découvrirons bientôt, après avoir analysé un certain nombre de malentendus qualitatifs…
L'énergie est au cœur de l'eau et donc au cœur du livre. Mais qu'est-ce que l'énergie de l'eau ? La science de l’eau se nomme la Bioélectronique de Vincent (BEV pour les intimes) et elle mesure assez simplement l'énergie de l'eau via deux paramètres énergétiques : l'activité protonique (mesure du pH) et l'activité électrique (mesure du potentiel redox). Nous ne sommes donc pas dans l'ésotérisme mais dans des mesures physico-chimiques de base.
Pourquoi (presque) personne ne s'intéresse-t-il à cette énergie (protons + électrons) de l'eau ? Eh bien simplement parce que les résultats de l'eau du robinet et de la majorité des eaux minérales en bouteilles sont mauvais avec des eaux alcalines et oxydantes, loin des besoins énergétiques de l'organisme ! En outre, la BEV insiste sur la nécessité de boire des eaux faiblement minéralisées, en contradiction donc avec l'essentiel du marketing des embouteilleurs. Et voilà pourquoi la BEV dérange !
Extraits II : Les normes de la potabilité
La potabilité est liée au respect de normes mais ces normes se dégradent ! En France, le nombre de paramètres qualitatif est ainsi passé entre 1989 et 2003 de 63 à 48 dont 26 paramètres chimiques soit, rapportés aux quelques 143 000 substances chimiques présentes en Europe, un taux de contrôle mirifique de moins de 0,02% ! [...]
Les seuils de tolérance sont également régulièrement augmentés : cinq fois plus pour les pesticides depuis 2011, vingt fois plus pour les nitrates depuis 1920 (50 mg/l en Europe, 40mg en Suisse).
La teneur maximale en minéraux (nous sommes hétérotrophes et donc incapables de les assimiler correctement) est quant à elle passée de 500 mg à 1500 mg/l en 1961 puis à tout ce que l’on veut depuis la Directive européenne. Pas de valeur guide non plus pour l’OMS mais un optimum en dessous de 600 mg / litre. Les médecins recommandent moins de 500 mg, les naturopathes moins de 200 mg mais les adeptes de la Bioélectronique de Vincent (BEV) moins de 120 mg voire moins de 50 mg…
Il y a enfin des normes incompréhensibles, comme par exemple les 200 mg de sodium autorisés alors que les eaux de surface dépassent rarement les 20 mg… Serait-ce par hasard pour ne pas nuire au très lucratif business des catastrophiques adoucisseurs à sodium ?
Au final, « ces normes […] s’avèrent inadéquates, scientifiquement obsolètes et inopérantes pour rendre compte de la qualité d’une eau de consommation humaine. » selon le CriiEau de Yann Olivaux. Au-delà des critères purement bactériologiques, les normes relèvent en effet moins de considérations de santé publique que de considérations industrielles, techniques et/ou économiques: il y a ce que les industriels peuvent respecter sans trop de difficultés, ce que les technologies actuelles permettent de mesurer, ce qui arrange et ce qui ne revient pas trop cher, sachant que la majorité de l'eau "potable" est utilisée pour l'agriculture, l'industrie ou nos toilettes !
Un livre sur la qualité de l'eau ne serait pas nécessaire si les normes étaient appropriées, contraignantes... et respectées ! Nous venons de voir que ce n'est pas vraiment le cas.
Mais les pouvoirs publics ou les acteurs de l'eau peuvent-ils faire beaucoup mieux que de nous protéger des risques microbiens et limiter les polluants ? En fait non car il est impossible de rendre l'eau biocompatible en amont, avant de la lancer avec une pression infernale dans des canalisations plus ou moins vétustes et à angles droits.
La propreté et la qualité énergétique de l'eau ne peuvent ainsi être adressées qu'en aval, au niveau de la maison ou de l'appartement, sur les canalisations finales ou à la sortie du robinet.
Le problème ne sont donc pas tant les normes ou les technologies déployées que le honteux marketing pour faire croire aux CONsommateurs que l'eau du robinet est d'excellent qualité... alors qu'elle n'est que "potable" !
Extrait III : L'eau au naturel
Une bonne eau est avant tout une eau que l’organisme redemande, qui nous apporte de l’énergie, nous nettoie et se boit avec facilité grâce à une texture fine et hydratante.
De ce point de vue, la meilleure eau est l’eau la plus naturelle : l’eau de source !
Les paramètres de cette eau idéale sont connus mais dérangent car ils sont contradictoires avec les eaux traitées du robinet et les eaux industrielles en bouteille :
• L’absence de polluants
• Le moins de minéraux possibles
• Le plus d’énergie possible
Il est rare de disposer d’une telle eau dans son jardin et à fortiori dans sa rue et il conviendra donc de faire des compromis.
La base de travail est l’eau du robinet, disponible partout et peu coûteuse, une chance à l'échelle de la planète.
L’outil de travail est une dynamisation de qualité, précédée – notamment si l’eau est chlorée – d’une filtration de base.
Toutes les filtrations ne se valent pas et tous les procédés de dynamisation non plus. Il convient d’éviter les pièges marketing des premiers et les travers pseudo-scientifiques des seconds.
Alors s’ouvre la compréhension de la véritable eau de qualité. Alors, perspective écologique réjouissante, il est possible de dépasser enfin la problématique du plastique !
Du grec "oikos" = maison-habitat, "logos" = discours, l’écologie est étymologiquement la préservation de notre énergie fondamentale via l’optimisation de notre environnement.
Non pas les économies d'énergie mais la préservation de notre énergie... ce qui passe donc par la qualité de notre eau ! Tout ce que nous ingérons devrait nous apporter de l'énergie mais, dans les faits, la malbouffe nous bouffe et l'eau nous déshydrate... un comble !
Il reste heureusement la perspective enthousiasmante de l'eau au naturel... via les solutions pratiques explicitées dans le livre... sur le site www.eaunaturelle.ch... ou via le Blog de l'eau.
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Contactez l'auteur Benoît Saint Girons
bsg@solutionsbio.ch
+41 76 532 8838 (rappel possible)
Obtenir le livre La Qualité de l'Eau
La Qualité de l'eau de Benoît Saint Girons, Préface de Roger Castell, Ed. Medicis, 2020, 218 pages
Ce livre pratique de référence est normalement disponible dans toutes les librairies. 17 euros.
Sur Suisse, il est disponible auprès de l'auteur - avec ou sans dédicaces - au tarif de CHF 19,80 + port (ou alors un peu plus cher en librairies).
Pour en savoir encore plus:
Vidéos-Tutoriels 2021 : La vraie qualité de l'eau (21'58) & Les solutions concrètes (19'54)
Site internet exhaustif d'information : www.eaunaturelle.ch
Site internet moderne, concis et adapté à tous les écrans : www.solutionsbio.ch (vous y êtes !)
Le Blog : + 80 articles sur l'actualité de la qualité de l'eau et l'écologie personnelle