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Photo du rédacteurBenoît Saint Girons

Comment choisir son eau de consommation courante ? De l’eau du marketing à l’eau biocompatible…

Dernière mise à jour : 30 oct.

Avec un organisme constitué à environ 97% de molécules d’eau (60-70% en volume), cette question est la plus importante qui soit, pour soi et sa famille. Les pouvoirs publics et les Régies répondent l’eau du robinet... Les écologistes celle sans plastique… Les médecins recommandent de varier les eaux minérales… Les embouteilleurs de dépenser une fortune pour leurs marques… Qui croire ? Et si les paramètres qualitatifs de l’eau n’étaient pas ceux que l’on pense ? Surprises et solutions écologiques sans plastique et sans risques avec l’auteur du livre La qualité de l’eau (Ed. Médicis, 2020).


Eau du robinet, eau minérale, eau de source ou eau au naturel biocompatible ?  Comment choisir son eau de consommation courante sans boire la tasse ?  Quelle est la véritable qualité de l’eau ?  Surprises et solutions sans plastique et sans risques avec Benoît Saint Girons, auteur du livre La qualité de l'eau
La meilleure eau qui soit : l'eau de source au naturel, évidemment biocompatible !

70% des français seraient en déshydratation chronique ce qui signifie que 70% n’ont pas de plaisir à boire leur eau de consommation courante. Parce que la confusion règne entre les définitions ou que les pseudos "experts" se contredisent ? Parce que les journalistes ne font pas leur travail ? Parce que les médecins ne sont pas formés à la qualité de l’eau ?


Il existe plusieurs manières de mal choisir son eau… et donc de boire la tasse :

  • Choisir son eau en supermarché, selon les publicités perçues auparavant.

  • Choisir son eau sur internet via un média grand public qui n'y connaît rien.

  • Choisir son eau en fonction de son prix, sans prendre le temps de lire l’étiquette.

  • Varier ses eaux comme le recommande les médecins et donc varier ses risques.

  • Choisir son eau en fonction de ses habitudes et non de ses besoins vitaux.

  • Ne pas choisir son eau et faire confiance aux pouvoirs publics ou aux régies…


Le choix de son eau de consommation courante se fait généralement dans une optique de santé. Nous souhaitons le meilleur ou, au minimum, l’eau que nous percevons comme offrant le meilleur rapport hydratation-prix. Nous nous trompons souvent mais avons au moins essayé d’améliorer les choses. Personne n’est masochiste au point d’apprécier le transport de packs de 9kg depuis le supermarché. Et ceux qui osent critiquer voire infantiliser au nom de l'écologie au prétexte que « le plastique, c’est mal ! » feraient mieux de se pencher sérieusement sur la qualité de l’eau du robinet et les problématiques du chlore afin d’offrir des solutions concrètes !


Les solutions existent mais encore faut-il avoir en tête des critères de choix pertinents. Qu’est-ce que la qualité de l’eau ? Réponse : une eau de qualité est une eau qui répond aux (nombreux) besoins de l’organisme c’est-à-dire une eau biocompatible. Cette eau de consommation courante idéale offre une hydratation de qualité, n’irrite pas la peau et apporte de l’énergie à l’organisme sous la forme de protons et d’électrons (comme devrait le faire tout aliment digne de ce nom). Elle est propre (et non pas pure), douce et agréable à boire, seule manière de boire suffisamment.


Ne sont absolument pas biocompatibles et donc fortement déconseillées en eau de consommation courante, les eaux suivantes :

  • Les eaux adoucies (via un adoucisseur à sodium ou certaines carafes filtrantes), chargées en sel et le plus souvent en bactéries.

  • Les eaux gazeuses au CO2, bulles naturellement rejetées par les animaux et les jeunes enfants.

  • Les eaux trop riches en minéraux (> 500 mg/L) : nous sommes hétérotrophes et incapables d’assimiler correctement les minéraux inorganiques des eaux !

  • Les eaux trop polluées, trop alcalines (pH > 7,2) ou trop oxydées (rH2 > 28).

  • Les eaux « potabilisées » au chlore, toujours alcalines et oxydées et donc, selon la Bioélectronique de Vincent (BEV), référence de quasiment tous les experts en eau, sur le terrain des cancers, des virus et des vaccins…

  • Les eaux filtrées avec filtre bas de gamme non renouvelé régulièrement avec alors un risque de relarguage des polluants…

  • Les eaux filtrées avec du matériel dont on connaît le marketing mais pas la fiabilité, exemple avec le scandale Berkey.

  • Les filtres à réservoir avec eau stagnante à température ambiante avec alors un risque de prolifération microbienne…

  • Les eaux soumises au marketing, qui ont forcément quelque chose à cacher.

  • Les eaux qui ne procurent pas plaisir à boire et nous obligent ainsi à nous forcer…


Ce dernier critère pourrait être à la fois le plus simple et le plus intéressant. Une eau véritablement biocompatible est immédiatement perçue par l’organisme qui en redemande généralement un second verre ! On se surprend à boire beaucoup plus, preuve que nous étions bien en déshydratation chronique... A l’inverse, on aura toujours du mal à boire une eau (mal)traitée (au chlore), trop chargée en minéraux ou dévitalisées (pour ne pas dire "mortes"), privée d’énergie au naturel.


« L'eau est importante pour ce qu'elle emporte et non pour ce qu'elle apporte » aiment à répéter les adaptes de la BEV. Une exception toutefois : l'eau doit apporter de l'énergie ! Cette énergie n'a rien d'ésotérique puisqu'il s'agit en premier lieu des protons et des électrons, mesurées via électrodes et calcul simple. Selon les critères de la Bioélectronique de Vincent (BEV), l’eau biocompatible est ainsi plate (sans bulles), légèrement minéralisée (<120 mg/L voire <50mg/L), légèrement acide (pH < 7 = des protons), anti-oxydante (rH2 < 28 = des électrons). J'ajoute qu'elle doit également être "structurée" et apporter du plaisir.


Aucune eau du robinet traitée ne répond à ces critères. Seules de très rares eaux dans le commerce sont acceptables. On les trouve généralement en magasins bio : Montcalm, Mont Roucous, Rosée de la Reine, Lauretana,… Le budget doit alors être conséquent… même si fréquenter un petit magasin bio fera toujours faire des économies par rapport à la grosse surface (moins de choix, de viande, de tentations et de promotions).


Eau-delà de la Volvic que l'on trouve partout (et qui est juste aux limites avec 130mg/L de minéraux et un pH de 7), on peut aussi avoir la chance de tomber localement sur une eau de source répondant à ces critères de base. Attention, la marque ou le marketing n’ont alors aucune importance : l’eau Cristaline provient de 34 sources différentes, de la meilleure à la pire ! La lecture de l’étiquette n’est ainsi pas optionnelle. A noter que les mesures sont faites à la source et non après le violent embouteillage ou trois mois passés emprisonnée : si l'eau n'était déjà pas terrible à la source, ce sera encore pire en bouteille !


Il y a toutefois mieux à faire que de se muscler les bras avec des packs d’eau : il est possible grâce à la technologie d’obtenir une eau biocompatible à partir de l’eau du robinet ! Pour les meilleurs systèmes, l’eau filtrée et dynamisée offre la même sensation énergétique qu'une eau de source de montagne. Au-delà des tests biologiques, la différence avant-après se perçoit immédiatement en bouche et le plaisir de boire est de retour !


De la théorie à la pratique, l’eau la plus appréciée n’est pas forcément celle qui obéit aux sacro-saints paramètres de la BEV : lors des tests réalisés en 2017-2019 à notre arcade de Genève, 8 personnes sur 10 préféraient l’eau du système intégral pour maison (qui replace les minéraux sous forme colloïdale, restructure l’eau en profondeur et gère intelligemment le calcaire) à celle de l’osmose inverse sous dynamisation. L’eau au naturel a de toute évidence une énergie plus subtile que celle mesurée par électrodes…


Au final, il s’agit donc moins de choisir son eau que son système de filtration et de dynamisation de l’eau, les deux étapes indispensables. Et là, sans choix ou réflexion, le risque est grand de se faire avoir avec un produit, soit bas de gamme et donc dangereux à l’usage (solutions du gros commerce, du marketing intensif ou des réseaux), trop coûteux (par rapport à des produits tout aussi efficaces) ou inadapté à sa configuration (maison ou appartement) et budget. La meilleure solution est celle sélectionnée en connaissance de cause après discussion, réflexion et un minimum de choix qualitatif ! Alors on a véritablement fait de son mieux et on retrouve le plaisir de boire, sans plastique et sans risques !


Pour en savoir beaucoup plus sur le choix de son eau de consommation courante et l’eau biocompatible :

Article de base pour éviter les arnaques de l'eau 

Les 3 problématiques et solutions Eau : www.solutionsbio.ch/eau Conférence-Tutoriel (Youtube) : La vraie qualité de l’eau (21’58) / Vidéo Impact (2'51) Le site de référence sur l'eau : www.eaunaturelle.ch Fiches pdf : L’eau et la vie / Comparatif des eaux minérales / Comparatif Solutions Eau Mon livre La qualité de l’eau (Ed. Médicis, 2020)

Me contacter pour une analyse gratuite et experte de votre situation : +41 (0)76 532 8838 (rappel possible), sms ou mail



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3 commentaires


Invité
26 févr.

bonjour je viens d’acheter une carafe zerowater qu’en pensez vous merci pour votre reponse

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Invité
05 oct. 2023

Bonjour, je cherche une solution optimale pour pouvoir une eau non polluée.. merci pour tout votre travail et ces précieuses informations. Quel est votre avis sur les générateurs d'eau atmosphériques ?? Cela me semble être une super solution mais je n'ai pas votre expérience....

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En réponse à

Bonjour, récupérer de l'eau de l'atmosphère est une vieille solution mais sur combien de temps et pour combien de litres ? L'eau sera en outre trop vide, comme l'eau distillée. La meilleure solution de filtration pour un point d'eau demeure ainsi l'osmoseur : https://www.solutionsbio.ch/post/pourquoi-l-osmose-inverse-et-comment-choisir-son-osmoseur

En maison, c'est autre chose. Contactez-moi si besoin.

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