La dynamisation de l’eau est la seconde étape, après la filtration, celle dont le gros commerce ne parle jamais, celle qui dérange beaucoup de monde. Elle fait en effet prendre à l’eau une tout autre dimension, bien moins quantitative que la seule approche physico-chimique. Elle interroge également la qualité des eaux en bouteille et des eaux du robinet. Pourquoi est-il essentiel de dynamiser l’eau et comment y parvenir sans prise de tête. Solutions économiques et écologiques pour retrouver le plaisir de boire une eau au naturel avec l'auteur du livre La Qualité de l'eau (Ed. Médicis, 2020).
Alternativement sur le sujet: Vidéo Impact (2'43)
Voir également la page pratique Solutionsbio.ch : Dynamiser l'eau
Pour vous repérer facilement dans l'article :
Comprendre la dynamisation de l’eau en 2 minutes :
Filtrer c'est-à-dire enlever physiquement les polluants de l'eau du robinet est important sinon indispensable (notamment vis-à-vis du chlore oxydant). Redonner de l'énergie (protons + électrons) selon la Bioélectronique de Vincent (BEV) ou réagencer les molécules d’eau afin d’en éliminer l’information "pollution" est déroutant mais tout aussi primordial. « Tout est énergie », disent les physiciens quantiques, et cela signifie : « Tout est information ».
L’eau changerait de structure (agencement des molécules d’eau entre-elles via la "liaison hydrogène") à l'échelle de la picoseconde soit 1000 milliards de fois par seconde. Or l’information de base imprimée dans l’eau est mauvaise sinon désastreuse : polluants, mauvais traitements, dégoût même parfois au moment de la boire… L’information qui nous parvient au travers de l’eau "industrielle" est généralement catastrophique.
Dynamiser, (ré)informer, (re)vitaliser ou (re) structurer l’eau sont autant de termes qui renvoient finalement au même objectif : retrouver autant que possible les propriétés de l’eau au naturel afin de la rendre véritablement biocompatible et donc agréable à boire. Nul besoin de physique quantique pour apprécier la différence Avant-Après : il suffit de goûter l'eau pour constater une eau beaucoup plus douce, une nouvelle énergie !
Plusieurs approches sont à notre disposition pour dynamiser l’eau :
Remuer ou agiter l’eau, via notamment le mouvement de vortex (de force centripète).
Exposer l’eau à l’énergie du soleil (infrarouges), à des rayonnements magnétiques adéquats ou à des minéraux spécifiques (Pierre de lave volcanique, Marbre de Carrare, Céramique informée,...)
Envoyer à l’eau des messages énergétiques positifs (mots, symboles, musique, matière du récipient, cristaux,…)
Rajouter dans l’eau quelques gouttes d’une substance vitalisante (citron bio, vinaigre bio, sérum de Quinton,…)
Chacune de ces approches permet – si l’on est de bonne foi – de constater rapidement une différence énergétique sous la forme d’une eau plus douce et plus soyeuse, moins râpeuse, plus agréable à boire, nettement plus hydratante…
L’important en matière de dynamisation de l’eau est de suivre le bon sens… et la nature, selon le principe de Viktor Schauberger : « Observer, comprendre et copier la Nature ». Dans la nature, l’eau n’est pas violemment secouée, soumise à de trop puissants aimants ou vortexée via une force centrifuge par exemple.
Toutes les solutions ne sont donc pas forcément bénéfiques et toutes ne fonctionnent pas aussi bien. Il est possible de tenter ses expériences ou de recourir à la technologie avec, pour le dynamiseur le plus puissant (le Biodynamizer), jusqu’à 21 principes de dynamisation en synergie. Alors, nous retrouvons le plaisir de boire et bénéficions enfin d’une hydratation de qualité !
Questions-réponses sur la dynamisation de l’eau :
Qu’est-ce que la dynamisation de l’eau ? L’eau, dans la nature, est naturellement chargée en énergie sous la forme de protons et d’électrons. La configuration ou "structure" de l’eau - l’agencement des molécules d’eau entre-elles - est également différente. Il suffit pour le constater de boire une eau de source de montagne : l’organisme réclame alors immédiatement un peu plus de cette eau, tant elle nous fait du bien. La dynamisation vise à redonner à notre eau du robinet l’énergie primordiale qui lui fait défaut et à réagencer les molécules d’eau afin d’en éliminer l’information “polluants”. Là encore, l’organisme est normalement en mesure de percevoir immédiatement la différence Avant-Après.
Qu’est-ce que l’eau vivante ? Ces expressions "eau morte" contre "eau vivante" sont utilisées pour désigner la richesse énergétique des eaux et la structuration des molécules d’eau entre-elles. En réalité, une eau n’est jamais entièrement morte dans le sens où elle possède toujours suffisamment d’énergie pour revivre et se restructurer correctement : le miracle de l’eau ! Il existe également plusieurs niveaux de vivacité. L’eau la plus vivante, la référence qualitative, est l’eau de source de montagne, aux propriétés énergétiques connues : une eau légèrement acide et anti-oxydantes, soit une eau riche en protons et en électrons, loin des eaux alcalines et oxydées des robinets ou bouteilles plastiques. Tout ce que nous consommons devrait être vivant du point de vue énergétique mais, dans les faits, la malbouffe nous bouffe… et nous transforme progressivement en Zombies… Voir Quelle est la différence entre une eau vivante et une eau morte ?
Quelle est l'énergie primordiale de l’eau ? L’énergie de base, constitutif de tout l’univers, est constituée de protons et d’électrons, soit une énergie magnétique et électrique. Tout ce que nous consommons devrait nous apporter ce type d’énergie. L’énergie magnétique se mesure avec une électrode pour le pH, soit la teneur en protons (Ions H+). L’énergie électrique se calcule avec la notion de rH2, soit la teneur en électrons, basée sur la mesure du potentiel redox et du pH. L’idée est d’éviter les eaux et aliments alcalins (pH >7 ) et oxydés (rH2 > 28) au profit d’une eau et d’aliments acides et anti-oxydants. Ces paramètres énergétiques de base - constitutifs de la Bioélectronique de Vincent (BEV), la science énergétique de l’eau - s’améliorent avec la filtration de l’eau - en enlevant notamment le chlore oxydant et les minéraux inorganiques alcalins - et se renforcent avec la dynamisation proprement dite de l’eau, notamment les mouvements de vortex qui chargent l’eau en oxygène.
Comment modifier l’information négative au cœur de l’eau ? La filtration améliore les paramètres physico-chimiques de l’eau mais cela ne suffit pas à retrouver une eau bénéfique à l’organisme. La “mémoire de l’eau” ou l’information au cœur de l’eau est liée à l’agencement des molécules d’eau entre-elles. Certaines méthodes de filtration extrêmes comme l’osmose inverse ou la distillation brisent l’agencement de ces molécules mais l’eau en sortie est totalement instable et requiert une attention énergétique. Différents dispositifs sont alors possibles pour réinformer correctement cette eau et lui faire reprendre une structure plus naturelle et bénéfique à l’organisme. La différence entre une eau propre et une eau propre et correctement dynamisée se traduit en bouche par une eau beaucoup plus douce et agréable à boire. Que les sceptiques fassent l’expérience !
Quelle est la meilleure dynamisation ? La meilleure approche de dynamisation est celle qui s’adapte à son système de filtration, l’idée étant d’éviter tout risque de prolifération microbienne et de charger l’eau en énergie ou vibrations ou information positives. Pour de l’eau stagnante stockée dans un réservoir - après osmose inverse ou filtration par gravitation par exemple - le meilleur dispositif de dynamisation est l’approche Marcel Violet avec une électrode en argent plongée dans le réservoir. Pour de l’eau filtrée par charbon actif pour l’ensemble de la maison et une bonne pression d’eau, le dispositif le plus puissant est le Biodynamizer et ses 21 principes de dynamisation en synergie dont plusieurs types de vortex. En solution budget avec un peu de manipulation, la référence est la cruche à vortex de force centripète de conception danoise. De nombreux autres types de dynamisation existent (voir plus bas) mais ils sont alors plus subtils ou aléatoires ou compliqués à mettre en œuvre. A nouveau, une dynamisation correcte se traduit toujours par une nette différence Avant-Après perçue par l’organisme. Si vous n’avez pas plaisir à boire, c’est qu’il y a toujours un problème !
Quelle différence entre dynamisation, structuration ou vitalisation ? Les différences sont subtiles et les termes souvent confondus mais tous renvoient à une nouvelle qualité énergétique de l’eau, normalement plus douce et agréable à boire. La dynamisation - le terme générique normalement employé - fait référence spécifiquement à un mouvement dans l’eau, le vortex de force centripète étant le plus efficace. La "structuration de l’eau" désigne tout système permettant un réagencement plus naturel des molécules d’eau entre-elles (via la liaison hydrogène), ce qui se produit normalement via tout procédé mais pas toujours de manière aussi puissante. A noter que l'eau changeant de structure à l'échelle de la picoseconde, il n'y a jamais de structuration définitive. L'eau n'a pas en soi de structure propre mais une dynamique plus ou moins naturelle. La vitalisation désigne normalement le rajout d’une substance vitalisante dans l’eau (citron, vinaigre,...) ou alors - selon mes réflexions - une approche faisant appel à une transmission d’information (via ondes de formes, symboles, matériaux en contact avec l’eau, etc.), plus "ésotérique" que la dynamisation. Les meilleurs dispositifs combinent toutes ces approches.
Le vortex est-il le meilleur moyen pour dynamiser l’eau ? C’est grâce aux multiples mouvements de vortex que l’eau, dans la nature, reste propre, vive et chargée en oxygène. "L'eau courante ne se corrompt jamais" dit un proverbe chinois et c'est notamment grâce aux vortex. Le vortex est donc une approche de base en matière de dynamisation mais encore faut-il que celui-ci soit de force centripète pour accumuler l’énergie (et non de force centrifuge qui disperse l’énergie), avec une pression suffisante (faire du toboggan dans un tuyau torsadé ne suffit pas) et sur un laps de temps ou distance suffisamment long. Les vortex en sortie d’un osmoseur ou d’un robinet sont ainsi trop faibles ou courts pour permettre une dynamisation correcte. Mieux vaut alors recourir à une cruche à vortex indépendante.
Est-il dangereux de dynamiser son eau sans l’avoir filtré au préalable ? Une théorie considère que les polluants seraient alors dynamisés et rendus plus redoutables encore. En pratique, l’eau non filtrée mais dynamisée est toutefois reconnue par l’organisme comme étant plus agréable et l’on arrive ainsi à boire davantage, ce qui présente déjà un intérêt. Cette eau sera par contre encore plus agréable et bénéfique avec une filtration préalable de qualité. La gageure est alors de trouver la dynamisation adaptée à cette eau filtrée privée de chlore, énergétiquement instable, susceptible de développer les bactéries. Les meilleurs dispositifs de filtration intègrent ainsi un procédé de dynamisation intégré.
Est-il possible de dynamiser son eau sans un dispositif coûteux ? L’une des approches de dynamisation les plus efficaces est le magnétisme via imposition des mains assorti d’une prière adressée à l’eau. Ceci requiert toutefois d’être correctement centré et d’avoir du temps à consacrer à son eau… ce qui est loin d'être toujours le cas. La solarisation de l’eau ou le mouvement dans l’eau avec des baguettes sont d’autres solutions non technologiques. A nouveau, une différence Avant-Après doit être perceptible en bouche, sachant que le résultat ne sera pas forcément aussi probant qu’avec l’aide d’une technologie adaptée. Bonnes expériences !
Comment mesurer la bonne dynamisation ou l’énergie de l’eau ? L’énergie de base, protons et électrons, se mesure via de simples électrodes plongées dans le liquide pour obtenir le pH et le potentiel redox qui permettra le calcul du taux d’oxydo-réduction (rH2) via une simple formule. Oser dire que cette énergie de l’eau n’est pas scientifique démontre le dogmatisme et la grande confusion qui règnent dans notre civilisation des impostures. Tout dans l’univers est pourtant électromagnétisme ! L’énergie plus subtile liée à l’agencement des molécules d’eau entre-elles se mesure quant à elle via des tests biologiques : photo Kirlian, analyse de spectrométrie, cristallisation sensible, analyse électrophotonique,... autant d’approches dogmatiquement non reconnue par le scientisme ambiant. Parce qu’elles dérangent ? La pousse de graines germées ou la conservation de fleurs coupées sont d’autres moyens - moins techniques - de démonstration, de même que la panification en boulangerie ou la production de bière. Une meilleure qualité d’eau a forcément un impact mais, officiellement, tout cela n’existe pas car pas “scientifiquement” démontré par l’analyse physico-chimique incontournable. Se tromper d’approche, de moyens et d’instruments est toujours le meilleur moyen de ne pas réussir à mesurer ce que l’on ne souhaite pas découvrir…
Pourquoi ne parle-t-on pas plus de la dynamisation ou de l’énergie de l’eau ? L’eau n’est analysée en Occident que sous l’optique de sa composition physico-chimique. Considérée dogmatiquement comme étant juste H2O, aqua simplex, le scientisme passe ainsi totalement à côté de la dimension énergétique de l’eau, la piètre qualité de l’eau arrangeant en outre bien les affaires… Prendre en compte la teneur en protons (ions H+ mesurés par le pH) et en électrons (rH2) ou encore la structuration de l’eau, remettrait immédiatement en cause la qualité de l’eau distribuée aux robinets ou en bouteilles plastiques, généralement alcalines et oxydées. Comprendre l’énergie de l’eau conduit également à s’intéresser à l’énergie des aliments et des remèdes, soit le début de la fin de la malbouffe et de la médecine allopathique. Est-ce pour cela que les médecins ne sont absolument pas formés à la qualité de l’eau ?
Quelles sont les arnaques de la dynamisation de l’eau ? D’un côté, l’omerta et les préjugés scientistes du système officiel. De l’autre des exagérations de toutes sortes pour vanter les mérites des dispositifs commercialisés. Si tout système modifie forcément la structure de l’eau et améliore donc la perception de la désastreuse eau du robinet, cela ne signifie pas que le travail soit correctement fait. Il est ainsi beaucoup plus compliqué, sans filtration préalable, de modifier le pH ou le rH2 de l’eau, les deux paramètres énergétiques de base. Nombreux sont les produits qui augmentent même le pH vers davantage d’alcalinité au lieu de le diminuer, preuve de la confusion qui règne en matière d’énergie de l’eau. Ce n’est pas non plus parce qu’une photo de cristallisation selon Masaru Emoto figure en exergue du produit que la dynamisation est correcte. Méfiance globalement avec le marketing : la dynamisation doit faire sens vis-à-vis de la filtration utilisée et être correctement explicitée, ce qui est rarement le cas, même pour des dispositifs à plusieurs milliers d’euros. Enfin, si des preuves biologiques sont toujours bonnes à prendre, seul un comparatif entre dispositifs permettrait véritablement de s’y retrouver… et de tels comparatifs sont rares. Des fabricants auraient-ils plutôt intérêt à rester dans le flou ?
Une cohérence est-elle nécessaire ? L’énergie forme le Tout et tout a donc de l’importance. Ainsi, la qualité énergétique de l’eau sera forcément impactée de manière subtile si vous utilisez le dispositif d’un fabricant ou revendeur que vous savez ne pas être honnête ou vis-à-vis duquel vous avez le moindre ressentiment. Vendre des dispositifs de vitalisation ou de dynamisation de l’eau via du marketing mensonger ou une approche commerciale agressive revient ainsi à être en incohérence énergétique. C’est peut-être bon (sur le court terme) pour les affaires, mais cela ajoute surtout aux arnaques de l’eau. Côté usager, on veillera également à boire dans un état d’esprit constructif, l’effet nocebo ou placebo impactant forcément son eau...
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Encore mieux comprendre comment dynamiser l’eau:
Qu’est-ce qui est très discret dans les médias, absent des rayons des grandes surfaces, globalement nié par la communauté scientifique, parfois indétectable par les mesures physico-chimiques classiques et pourtant susceptible de modifier intégralement notre vision de l’eau ? La réponse vous la connaissez désormais : la dynamisation de l’eau ! L’expérience Avant-Après ne prend que quelques minutes mais elle dérange les certitudes. Tant pis pour les sceptiques : personne ne peut perdre leurs préjugés à leur place !
Le Professeur Marc Henry explique dans ses livres (et passionnantes conférences) la théorie physico-quantique mais c’est la pratique qui nous intéresse ici. Lors des tests réalisés dans notre arcade de Genève, 9 personnes sur 10 percevaient en bouche la nouvelle énergie de l’eau et 100% la percevaient sur leur peau ! La dynamisation de l’eau fait la différence entre l’eau propre et l’eau que l’on a véritablement plaisir à boire et cela fait une nette différence en matière d’hydratation !
L’idéal serait naturellement de pouvoir se passer de technologie mais c’est à cause de la technologie que notre eau a été dénaturée et c’est le plus souvent par elle qu’elle retrouvera le meilleur de sa vivacité. Passons toutes ces technologies de dynamisation en revue...
Les techniques de dynamisation à éviter ou à envisager avec précaution
Plusieurs approches sont possibles sans ou en complément d’appareils… mais commençons déjà par ce qui ne fonctionne pas aussi bien pour dynamiser l’eau ou requiert quelques précautions ou tâtonnements.
Secouer l’eau : s’il convient de se secouer un peu pour la qualité de l’eau, on évitera de secouer l’eau polluée au risque, selon le principe de la succussion de l’homéopathie, d’imprégner encore davantage l’eau d’informations « polluants ». Secouer de l’eau propre permettrait de la charger en oxygène et de lui rendre de la vivacité mais notre préférence va aux mouvements souples et naturels, à l’image de son cheminement dans la nature. L’eau a déjà subi suffisamment de violence comme cela…
Soumettre l’eau à des aimants trop puissants : la terre émet des pulsations magnétiques mais vous ne trouverez pas d’aimant dans le lit d’une rivière. Les aimants sont utiles pour la gestion intelligente du calcaire mais ils ne devraient pas être considérés comme approche unique de dynamisation car ils produisent une « énergie lourde » manquant de subtilité. Même constat pour tous les procédés ne reproduisant pas les fréquences de la nature. On retrouve par contre des aimants, subtilement calibrés et positionnés, dans les meilleurs systèmes de dynamisation de l’eau.
Placer des pierres dans l’eau : la lithothérapie est une approche énergétique très puissante mais n’importe quelle pierre ne devrait pas être placée dans n’importe quelle eau sans un minimum de recul : qualité, propreté, provenance, charge énergétique, prolifération microbienne à température ambiante… Une meilleure approche est d’utiliser un seul cristal ou pierre (semi-)précieuse, idéalement isolée de l’eau via un tube en verre. On ne peut se tromper avec du cristal ou du quartz de qualité.
Placer de la shungite dans l’eau : la shungite, « énergie de vie », est une pierre parée de toutes les vertus énergétiques. Dans la nature, l’eau ne retrouve la shungite qu’à un seul endroit, dans le nord-ouest de la Russie, près d’un village appelé Shunga, pour des propriétés forcément très spécifiques. Les solutions de shungite dans l’eau étaient appelées « eaux de Mars » à l’époque du tsar Pierre le Grand (1672-1725) : une eau extraterrestre ? Cette pierre unique contient du carbone organique dans des proportions allant de 50 % à 98 %, et divers autres éléments dont, pour apparemment certains échantillons, de la radioactivité plus ou moins naturelle… Certaines personnes se sentent mal au contact ou à proximité de la très spécifique shungite et cela devrait déjà inciter à se montrer prudent. Consommer de l’eau de shungite ne doit ainsi être envisagé qu’en complément d’une eau de consommation courante et en surveillant son ressenti. À noter, enfin, que le mode d’emploi précise de laisser les 100 g de pierre trois jours au contact de l’eau… ce qui n’en fait donc pas le système de dynamisation de l’eau le plus rapide…
Les techniques de dynamisation à tester avec patience et ressentis :
L’eau a le temps pour elle et certaines approches requièrent également du temps et un certain doigté afin de dynamiser correctement son eau.
Solariser l’eau : l’eau sort dépressive de son long cheminement dans le noir et un petit bain de soleil lui redonnera un peu de vitalité. Le chercheur américain Gerald Pollack – découvreur de la 4ème phase (énergétique) de l'eau – a mis en évidence l’affinité de l’eau avec la lumière en général et les infrarouges en particulier. Dans une optique énergétique, une bouteille en verre teinté sera utilisée, du bleu profond ou du violet par exemple. La météo doit être clémente mais le plein soleil n’est pas nécessaire et les rayons directs pourraient même être contre-productifs si l’eau se retrouve chauffée. Le lever du soleil correspond à un optimum énergétique. Le laps de temps nécessaire à l’expérience est également sujet à caution (et à l’ensoleillement) : de quelques minutes selon certains à au moins trois heures pour d’autres.
Apposer un mot sur un récipient ou lui faire écouter de la musique : les principes de Masaru Emoto sont séduisants en théorie mais un peu plus difficiles à mettre en pratique : il fallait à Emoto une journée pour obtenir un résultat avec un mot et trente minutes avec de la musique classique… mais pas systématiquement ! Hors laboratoire et dans un contexte familial, l’eau sera également sensible à toutes les perturbations extérieures. Bref, cela ne peut pas faire de mal et c’est gratuit mais cela ne sera pas spectaculaire… même avec les mots « merci » ou « gratitude », les plus puissants selon l’artiste japonais. Côté musique, on évitera le hard-rock pour privilégier les approches plus mélodieuses et pastorales...
Faire couler ou tourbillonner l’eau : l’eau, engourdie par son périple, apprécie le mouvement : en faisant de l’exercice, elle s’oxygène et se renforce. Transvaser de l’eau dans deux récipients un peu distants – à l’exemple du service du thé à la menthe dans les traditions musulmanes – lui rappellera ses expériences de cascade. Imprimer des vortex (dans un sens puis soudain dans l’autre) dans l’eau à l’aide d’une baguette ou d’un manche de cuillère en bois lui remémorera l’aventure de la rivière. Reste à affiner la durée, la vitesse et la direction… Belles expériences !
Magnétiser l’eau : tenir un verre d’eau entre ses mains durant une minute afin de lui communiquer son énergie est une excellente approche… pour autant que l’on ait de l’énergie ! Tout le monde possède du magnétisme, mais rares sont ceux qui réussissent à se centrer suffisamment afin de pouvoir le transmettre correctement à la demande. Les praticiens en méditation, yoga ou qi gong seront avantagés.
Adresser une prière ou réciter un mantra à l’eau : La prière est l’une des énergies les plus puissantes mais il convient du coup d’être patient, sincère, humble, convaincu et centré ! « L’eau ne donne que si l’on participe », dit Jacques Collin. L’eau de Lourdes est-elle (parfois) « miraculeuse » parce que chargée de la prière des fidèles ou bien est-elle énergétiquement bénéfique au naturel, ce qui conduit à la prière ? Certainement les deux mais un « deux » émanant du « Un » : l’eau est le lien entre l’homme et son environnement. Cela vaut bien une petite prière… ou un remerciement !
Les techniques de vitalisation de l’eau immédiates, modification des paramètres physico-chimiques en prime !
Rajouter un complément à l’eau crée une nouvelle « solution aqueuse » dont les propriétés énergétiques peuvent être particulièrement intéressantes. Ce n’est pas de la dynamisation de l’eau proprement dite mais une petite vitalisation toujours bénéfique.
Ajouter quelques gouttes de sérum de Quinton : présent dans le dictionnaire Vidal jusqu’en 1975 (avec une trentaine d’indications), le sérum de Quinton est l’un des plus remarquables compléments alimentaires disponibles sur le marché ! Inventée par le savant naturaliste, physiologiste et biologiste français René Quinton (1866-1925), cette eau de mer (en partie désalinisée) est identique au plasma, proche du « milieu vital » dans lequel baignent les cellules avec tous les oligo-éléments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. L’eau de mer doit être prélevée dans des zones de vortex – oui, encore lui ! – et récolté selon un protocole strict. Son usage dans l’eau vise avant tout à la reminéralisation d’une eau distillée ou osmosée mais on pourra également l’envisager pour redonner à l’eau une petite touche de dynamisation marine…
Vitaliser grâce à un produit vivant (citron bio, vinaigre bio…) : le citron masque le mauvais goût éventuel de l’eau chlorée, rafraîchit la boisson, apporte des vitamines et des minéraux, aide à rendre les minéraux biodisponibles, facilite l’élimination des toxines et, avec un pH de 2,2, redonne à l’eau de l’énergie magnétique sous la forme de protons (ions H+). Cette acidité supplémentaire créera dans l’estomac un effet alcalin et facilitera la digestion. Si le citron est bio, il apportera également une bonne énergie naturelle ; dans le cas contraire, une information « pesticides » dont l’eau se passerait bien. D’autres agrumes, fruits ou légumes sont possibles mais leur intérêt est alors tributaire de leur acidité et mode de production. Quant aux graines germées, elles requièrent déjà de l’eau dynamisée pour mieux pousser et gagner en saveur et nutriments.
Les techniques de dynamisation liées au récipient et aux ondes de forme :
Toute substance en contact avec l’eau modifie la structure de l’eau et il en va de même pour les symboles ou ondes de forme émises par les objets environnants.
Placer l’eau dans un pichet ou une jarre en argile : la qualité énergétique du récipient impacte l’énergie de l’eau. Céramiques et terres sont ce qui se fait de plus traditionnel pour l’eau, tout en la maintenant au frais. Riche en silice et en minéraux, l’argile a aussi la réputation d’absorber les toxines.
Placer l’eau sous une pyramide : Le secret des pyramides reste à découvrir mais leur énergie subtile liée aux « ondes de forme » n’est plus à démontrer. Il est ainsi de notoriété publique qu’une pyramide est capable d’aiguiser les lames de rasoir, de recharger les batteries, de stimuler la croissance des plantes ou encore de mieux préserver les aliments. Placer sa tête – constituée à environ 80 % d’eau – sous une structure de pyramide (correctement bâtie et orientée vers les quatre points cardinaux) permet de constater un transfert énergétique immédiat : les yeux papillonnent sans contrôle possible durant plusieurs minutes (ce qui amuse toujours les observateurs présents) avant de se calmer. La dynamisation de l’eau via une pyramide ne prend également que quelques minutes et permet – comme tout système de dynamisation qui se respecte – d’obtenir une eau plus douce et agréable à boire.
Dessous ou dessus, de nombreuses variantes du principe de l’onde de forme existent : céramiques magnétiques, plateau en verre avec symbole de fleur de vie, pierres-supports vibratoires, briques… Reste à comparer ces différentes énergies.
Combiner les approches renforcera naturellement les effets. Mais ajouter citron et Quinton dans l’eau d’un récipient en argile bardé de mots positifs avant de transvaser celle-ci puis de la remuer à la baguette sous une pyramide exposée au soleil tout en récitant une prière avec de la musique classique en fond sonore sera aussi lourd que la phrase. Restons simples : le rituel de la dynamisation de l’eau doit rester un plaisir… sous peine d’être complètement contre-productif. De ce point de vue, les solutions technologiques ont l’avantage d’apporter (plus ou moins) facilement de l’énergie à l’eau… tout en préservant (normalement) la nôtre.
Les technologies de dynamisation de l’eau :
Un peu plus coûteuses mais beaucoup plus pratiques à l’usage et généralement aussi plus efficaces, voici les meilleures approches technologiques pour dynamiser l’eau sans stress et en quelques minutes, voire fraction de secondes pour les dispositifs les plus puissants. Pour autant qu’elle ait été correctement filtrée au préalable, nous pouvons dire alors que l’eau est biocompatible. Très agréable à boire, elle optimise alors l’hydratation.
Les carafes ou gourdes dynamisantes :
Les carafes Nature’s Design sont à ma connaissance le plus bel objet pour conserver et sublimer l’eau. Combinant forme selon le nombre d’or et fleur de vie, l’eau est structurellement différente en quelques minutes, ce qui se révèle très pratique pour convaincre les sceptiques… Les carafes se déclinent en plusieurs formes et contenances. La version Delicate en 0,5 est, comme son nom l’indique, fragile ; la version 2,3 litres Family, trop lourde pour se servir facilement à boire. Demeure l’idéale 1,3 litre Alladin. À noter aussi une originale Cadus pour pierres semi-précieuses dans un réceptacle sans contact avec l’eau et, pour les spas, centres, hôtels ou entreprises, les spectaculaires versions en 5 ou 10 litres. Alors l'eau est véritablement et sublimement mise en valeur !
Il existe naturellement d’autres carafes dynamisantes sous différentes matières, tailles et formes : les céramiques dynamisantes Biocéram, la cruche « en céramique biocatalytique » Terre de Lys… À chaque fois, une différence probante devrait pouvoir s’apprécier en quelques minutes.
Côté gourdes, la bouteille i9 en verre, colorée de bandes de silicone, met de bonne humeur… et le moral est, comme chacun le sait, excellent pour la santé ! Au niveau de l’eau, elle impressionne avec une énergie perceptible en quelques minutes. Son secret réside dans l’étiquette Poznik, du nom de son inventeur slovène : ce mélange de symboles et de codes numériques à la sauce quantique est le fruit de plus de trente ans de recherches. Pour les explications, il faudra attendre encore un peu plus… Mais le résultat compte et il est à même de perturber les plus sceptiques. On emportera cette 650 ml partout et on ne passera pas inaperçu. Un excellent moyen d’engager la conversation sur la qualité de l’eau !
Il existe quantité d’autres bouteilles dynamisantes dont la Vitbot en forme d’œuf. « Grâce à cette forme ovoïde, les liquides tournent naturellement en tourbillon (vitalisation) à l’intérieur des Vitbot, générant une dissolution uniforme des minéraux, des électrolytes, etc. présents dans les boissons », explique le fabricant. Cette 500 ml bleu cobalt se fait remarquer. Un autre moyen de prolonger la conversation sur la qualité de l’eau ?
L'approche Schauberger : les dispositifs à vortex !
« Le mouvement de l’eau dans l’eau se comporte comme celui de l’air dans l’air », notait déjà Léonard de Vinci vers 1510… et ce mouvement est celui des tourbillons, spirales ou vortex ! « C’est dans le tourbillon et la spirale que l’on trouvera tous les secrets de l’organisation de la vie », dira bien plus tard Louis-Claude Vincent.
Observez le mouvement d’une rivière : vous y noterez des dizaines de vortex à la surface, en imaginerez des centaines en profondeur… Le moindre obstacle est propice au vortex et c’est grâce à eux que l’eau se réoxygène et se restructure, réussissant in fine à se débarrasser des polluants. Viktor Schauberger ou encore Theodor Schwenk ont passé leur vie à étudier leur spectaculaire énergie.
« Dans une eau correctement animée, nous avons affaire à un processus vivant jusque-là ignoré et jamais étudié. Une eau sans mouvement est une eau morte, finalement nocive pour la vie. Une eau vivante apporte la vie, une eau morte apporte la mort », écrit Viktor Schauberger (1885-1958), garde forestier autrichien, naturaliste, philosophe et inventeur, figure incontournable de l’eau.
L’eau est selon Schauberger « le sang de la terre » et « le support de toute vie ». L’eau placée dans un tuyau spiralé et vrillé se déplace ainsi plus rapidement que dans un tuyau rectiligne. Une énergie d’implosion est générée, au contraire de l’énergie d’explosion de la technologie moderne.
Tous les vortexeurs par contre ne se valent donc pas et se tromper de modèle peut coûter cher. Si l’idée est d’apporter de l’énergie, le vortex doit ainsi être de force centripète, c’est-à-dire générer un mouvement implosif allant de la périphérie vers le centre : le rétrécissement entraîne une accélération de la vitesse de rotation et celle-ci est théoriquement infinie.
« La rotation créée par le vortex engendre une aspiration ou “énergie du vide” qui est une “implosion” générant un océan d’énergie. […] Ces forces d’implosion ont la capacité de purifier l’eau et de la dynamiser et revivifier », précise Richard Haas. Le taux en oxygène est également augmenté et la tension superficielle de l’eau baisse, favorisant l’hydratation cellulaire. L’eau est également plus fraîche.
Les vortex générés par centrifugeuse (rotation depuis le bas du réservoir), de forme rectiligne, génèrent au contraire une force centrifuge, un mouvement explosif allant du centre vers la périphérie. Ils n’ont que peu d’intérêt sinon de disperser l’énergie… Beaucoup plus intéressant – mais plus rare et difficile à obtenir –, le vortex colonnaire, similaire à la trombe d’eau marine, reliant l’air et l’eau. On le retrouve sur le dispositif Voda ou le puissant Biodynamizer (voir plus bas).
Certains s’attardent sur le sens du vortex, mais on retrouve globalement les deux sens dans la nature et cela dépend aussi de l’endroit d’où on l’observe, par au-dessus ou par en dessous. « La spirale est un mouvement fondamental inscrit dans la structure de l’univers […]. Dans l’air, l’eau et le sang, elle est le mouvement naturel de vie », explique le docteur en sciences physiques Alain Boudet.
La cruche à vortex est le complément idéal et « budget » de tout système de filtration sans dynamisation : carafe filtrante, filtre robinet, filtre évier, distillateur ou osmoseur. Trois minutes suffisent pour redonner de l’énergie à l’eau. Idem pour les eaux en bouteille qui auraient bien besoin d’un peu d’air et d’exercice ! À partir de l’eau brute du robinet, il convient d’augmenter la dose à sept minutes : l’eau est sensiblement améliorée et plus agréable à boire, mais le résultat « santé » demeure aléatoire et tributaire de la qualité de la filtration initiale.
Il existe des modèles en éco-plastique ou en verre, avec ou sans fleur de vie, mais la forme du vortex l’emporte sur toute autre considération. Il n’existe pas encore de modèle manuel avec manivelle mais le modèle de l’inventeur danois Erik Lavigne Madsen évite déjà le parasitage au 50 Hz du branchement électrique en embarquant une batterie au lithium. Il se distingue également par une hélice en forme de graine d'érable plaquée argent.
Le petit tube en plastique à placer entre deux bouteilles fonctionne aussi mais il ne fonctionne pas aussi bien (que la cruche à vortex) et le rituel devient vite contraignant : dynamiser correctement nécessite de répéter l’opération plusieurs fois (et dans deux sens différents) tout en récitant une prière…
Tout système de vortex au passage de l’eau ne donne pas forcément de bons résultats. Pour faire simple, plus le système est court ou en manque de pression, plus l’effet est limité. Ce n’est pas non plus parce que l’eau joue au toboggan en empruntant un tuyau sinueux que l’eau sera forcément brassée et vortexée à cœur. « Durée, rythme, répétition et forte intensité de tourbillonnement, avec un gros apport énergétique, sont nécessaires à une régénération durable de l’eau », précisent les auteurs Zerluth et Gienger.
Les choses s’améliorent sensiblement dès que la pression et la taille du tube spécifiquement spiralé, torsadé ou vrillé augmente, car l’eau peut alors se dérouler correctement et continuer à tourner bien après le dispositif, tout en augmentant au fil des tourbillons sa teneur en oxygène. De ce point de vue, le Biodynamizer – à installer sur une arrivée d’eau principale – est ce qui se fait de mieux, avec plusieurs types de vortex dont le vortex colonnaire. Nous en reparlerons un peu plus bas.
Pour le moment, parlons plutôt du dynamiseur Voda, centré autour de différents vortex dont également un vortex colonnaire. Selon son fabricant, l’eau dynamisée par le vortexeur Voda est supposée retrouver tout son potentiel électromagnétique et ainsi agir sur les cellules des organismes vivants : capacité d’hydratation multipliée et accélérée, meilleure oxygénation des cellules, apport d’ions négatifs, diminution des radicaux libres, amélioration des fonctions d’élimination cellulaires, amélioration globale du métabolisme, diminution du stress et accroissement de l’énergie. Ouf ! De conception française, le Voda est conçu dans le respect de la géométrie sacrée (nombre d’or, suite de Fibonacci…) pour une énergie subtile supplémentaire. Il contient par contre une couche de résine époxy synthétique. Nous ne sommes donc pas au niveau du Biodynamizer ci-dessous, constitué uniquement de matériaux nobles, plus complet avec 21 principes de dynamisation et au bénéfice de multiples tests scientifiques indépendants mais le prix n'est pas le même non plus et le Voda existe en différentes tailles, pour toutes les configurations (évier, appartement, maison ou immeuble) !
L’approche Bignand / Marcel Violet : l'énergie cosmique !
Au regard des expériences de Stanislas Bignand puis de Marcel Violet – notamment en hôpital –, le procédé de bio-oscillation pour une eau « électro-vibrée » mérite certainement toute notre attention. « Cette ancienne invention de Marcel Violet est probablement, pour ne pas dire certainement, celle qui a le plus d’effet positif et d’avenir devant elle », avance Richard Haas, après avoir mis en garde contre toutes les versions plus ou moins conformes à l’original disponibles sur le marché.
On retrouve le condensateur à cire d’abeille et l’électrode en argent dans des fontaines d’osmose inverse (Mélusine, Fontaine Iona, Fontaine Sim Pure, Mascardi, Osmotic,…) ou sans cire d’abeille dans le procédé Oli-dyn de Jean Pagot, ancien collaborateur de Marcel Violet. Ce procédé est proposé dans une valisette avec une vingtaine d’oligo-éléments pour une approche innovante de l’oligothérapie, l’eau dynamisée captant l’énergie vibratoire des différentes électrodes.
Globalement, le procédé requiert une eau faiblement minéralisée (inférieure à 50 mg) et au moins une vingtaine de minutes de patience, ce qui n’en fait pas le procédé de dynamisation le plus simple ou rapide à mettre en œuvre, mais quelle importance: l’énergie se capte et se condense mais elle ne se presse pas ! Citons, pour ceux qui sont encore moins pressés, un autre procédé électrique visant à obtenir de l’« eau d’orage » : avec le pichet en grès Aqualustral, l’eau reçoit des flashs électriques lumineux selon une fréquence spécifique durant au moins cinq heures. Un bel orage…
L’eau hydrogénée anti-oxydante :
L’eau hydrogénée ne correspond pas aux paramètres habituels d’une eau de consommation courante : elle est beaucoup plus anti-oxydante ! Contrairement à l’eau ionisée alcaline de type Kangen, il n’y a toutefois pas de changement radical du pH vers plus d’alcalinité (et le terrain des bactéries) et donc de nocivité rapportée. Elle est présentée dans cet article sur la dynamisation de l’eau car c’est l’eau la plus chargée en énergie qu’il nous ait été possible de tester à ce jour avec une sensation de douceur en bouche et de diffusion dans l’organisme remarquable. La production se fait en quelques minutes et requiert, pour les meilleurs résultats, une eau propre et faiblement minéralisée.
Plusieurs générations d’appareils sont disponibles sur le marché (2e génération à électrodes, 3e à membrane) ainsi que des gadgets made in China sans intérêt sinon leur (trop) faible coût. Le petit boîtier Idrogen - référence du marché - a ma préférence pour son rapport qualité/prix et son faible encombrement. Attention par contre aux contrefaçons ! Pour en savoir plus : Article sur les eaux thérapeutiques.
Le nec plus ultra : copier la nature en synergie !
Fruit de plusieurs années de recherches, le Biodynamizer sorti début 2020 et ponctuellement amélioré depuis, est inspiré de la philosophie de Schauberger : « Observer, comprendre et copier la nature ». C’est à ce jour – avec 21 principes de dynamisation, restructuration et/ou vitalisation de l’eau - le système de dynamisation de l’eau le plus performant du marché.
Ce biodynamiseur ne se contente pas en outre d’énoncer de vagues principes de dynamisation : il en démontre la justesse et l’efficacité au travers d’études scientifiques rigoureuses. Il a ainsi par exemple été démontré une baisse de la tension superficielle de 15%
Vortex, magnétisme et transmission de fréquences naturelles sont les trois approches principales et un coup d’œil sur le schéma interne de l’appareil suffit à comprendre que rien n’a été laissé au hasard. L’ensemble de ses composants – en cuivre, laiton, argent et même or – est en accord avec l’harmonique de l’eau et la conception suit les principes de la géométrie sacrée jusque dans les moindres détails.
Le procédé le plus spectaculaire se passe dans… l’œuf ! « La matrice ovoïdale se terminant par un entonnoir hyperbolique génère un vortex colonnaire d’eau en flux libre en son centre, à l’instar d’une trombe marine », explique poétiquement le fabricant. À cet endroit, l’énergie cinétique est à son apogée et se manifeste par des milliers de vortex se prolongeant dans les conduits sanitaires. Un petit schéma vaut toutefois mieux qu’un long discours, surtout s’il s’agit en l’occurrence d’une vidéo : voir la colonne d’eau se former est un spectacle saisissant, une prouesse technologique, dans l’esprit magique de l’eau !
Plus classique, la gestion intelligente du calcaire, transformé en aragonite, assure que l’eau n’encrasse pas la tuyauterie et remplace ainsi le catastrophique adoucisseur à sodium. Comme tout bon dynamiseur, il ne requiert aucun entretien une fois installé et produit, sans perte de pression, toute l’eau requise pour une maison, un immeuble, une piscine ou un jardin. Dans le cadre d’un usage professionnel en agriculture ou activité maraîchère, ce type d’eau permet une pousse plus rapide des végétaux, une amélioration nette de la saveur des fruits ou légumes et une meilleure conservation. Des fleurs coupées plongées dans de l’eau dynamisée prolongent leur beauté, voire relancent des bourgeons ! En élevage, les animaux s’hydratent mieux et produisent donc, le cas échéant, davantage de lait. En brasserie, c’est enfin le Biodynamizer qui est utilisé pour réaliser la bière belge la plus avant-gardiste sinon la meilleure au monde : la Houblonde !
Le Biodynamizer se place sur une arrivée d’eau principale – après une filtration de qualité – pour ensuite se faire oublier : tout ce que l’on devait et pouvait faire à l’eau de consommation courante est bel et bien fait ! Il n’y a plus rien à ajouter ou à retirer, simplement à apprécier au quotidien cette eau chargée en énergie. « Bois ton eau et tais-toi » ? « Bois cette eau et tu es toi », serions-nous plutôt tentés de dire : le moment est enfin venu de savourer et de se retrouver, face à l’eau, en toute humidité.
Voilà donc tout ce que nous pouvions dire sur la dynamisation de l’eau, dans une approche volontairement ici plus pratique que théorique. La démonstration de l’énergie de l’eau et de l’agencement des molécules d’eau entre-elles (100 trillions de molécules d’eau tiennent dans une seule goutte !) prendra évidemment à la physique quantique un plus de temps... D’ores et déjà, via les différentes technologies disponibles, il est possible de cesser de boire la tasse : filtrer puis dynamiser son eau du robinet permet d’obtenir une eau véritablement biocompatible et de retrouver enfin le plaisir de boire, une eau au naturel, naturellement énergétique !
Pour en savoir encore plus sur la dynamisation de l'eau:
Article de base pour éviter les arnaques de l'eau
Article de fond sur les derniers scandales de l'eau
La page sur la dynamisation de l'eau : www.solutionsbio.ch/dynamiser-l-eau
Vidéo Conférence-Tutoriel : Les solutions concrètes (19’53) / Vidéo Impact (2'43) Le portail de référence sur l’eau : https://www.lemieuxetre.ch/eau
La fiche pratique pdf : Comparatif des Solutions Eau
Mon livre La qualité de l’eau (Ed. Médicis, 2020)
NOUVEAU : Synthèse pdf de 15 pages: La qualité de l'eau et le plaisir de boire
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