L’eau du robinet est recommandée par rapport aux eaux en bouteille au prétexte qu’elle serait écologique. Les bouteilles en verre sont également mieux considérées que celles en plastique… Même l’adoucisseur à sodium y va de ses arguments écologiques... Mais qu’en est-il exactement ? Y aurait-il un peu ou beaucoup de greenwashing ? Et, surtout, n’y a-t-il pas erreur sur le terme écologie ? Surprises et solutions sans plastique et sans risque avec l’auteur du livre La qualité de l’eau.
Pour vous repérer facilement dans l'article :
L’eau du robinet plus ou moins écologique en 2 minutes chrono...
Officiellement, tout est limpide : l’eau du robinet est de 90 à 1000 fois plus écologique que l'eau minérale en bouteille selon une étude menée en Suisse au nom de la Société Suisse de l'Industrie du Gaz et des Eaux (SSIGE) en 2005, réactualisée en 2014.
On notera la grande amplitude des résultats mais a-t-on vraiment besoin d’une étude pour comprendre l’impact du plastique sur la planète ? Depuis que la Chine refuse d’importer nos déchets, plus personne n’aime le plastique et les injonctions pour le supprimer se sont multipliées…
La mauvaise foi toutefois prédomine : non seulement les solutions les plus efficaces sont refusées afin de ne pas nuire au lucratif business des eaux en bouteille avec par exemple une critique médiatique systématique des solutions de filtration, mais le sens du terme « écologie » continue à être dévoyé.
L’eau du robinet est-elle écologique ? Oui évidemment selon la définition de l’écologie politique à savoir les économies d’énergie (du système) et la moindre empreinte carbone ou CO2 (gaz que l’on retrouve, au passage, dans les eaux pétillantes). Non, naturellement, selon la définition étymologique de l’écologie à savoir l’optimisation de son environnement immédiat afin de favoriser sa santé et sa vitalité.
L’eau du robinet est toujours polluée, alcaline (pour protéger la tuyauterie) et oxydée (à cause notamment du chlore oxydant). Elle se retrouve ainsi, selon la Bioélectronique de Vincent (BEV), référence de quasiment tous les experts de l’eau, sur le terrain des cancers, des virus et des vaccins. Une eau « potable » aussi délétère ne favorise évidemment pas de bonnes conditions d’existence, ne serait-ce que parce que l’on a du mal à la boire et donc à s’hydrater correctement.
Comment une telle eau peut-elle être qualifiée d’écologique ? « Primum non nocere, d’abord ne pas nuire » disait Hippocrate et il faut être très hypocrite ou mal formé (ce qui est malheureusement le cas des médecins ou des écologistes) pour recommander l’eau traitée au chlore en eau de consommation courante ! Les eaux minérales ne sont pas forcément plus recommandables mais personne n’ose au moins les qualifier d’écologiques !
Que faudrait-il donc faire ? L’eau la plus écologique est une eau qui préserve la nature mais, avant tout, qui renforce la santé et la vitalité de celui qui la boit ! Tout ce que nous consommons devrait nous apporter de l’énergie sous la forme de protons et d’électrons… ce qui n’est pas le cas de la malbouffe… ou, donc, en l’état, de l’eau du robinet.
Cette eau du robinet est par contre disponible partout et à faible coût, une chance à l’échelle de la planète ! Cette eau va ainsi pouvoir facilement être utilisée en matière première pour être filtrée puis dynamisée afin d’obtenir une véritable eau écologique : une eau biocompatible, non pas pure mais au naturel, que l’on a plaisir à boire, seule manière de boire suffisamment et d’être correctement hydraté… sans plastique et sans risques !
En savoir plus sur l’eau du robinet soit disant écologique (+10 minutes) :
Beaucoup de bêtises et de préjugés à propos de l’eau du robinet, promue comme écologique au seul prétexte qu’elle consomme moins d’énergie… et tant pis si elle n’apporte aucune énergie magnétique ou électrique à un organisme pourtant constitué à plus de 99% de molécules d’eau. Affaiblir les citoyens permettrait-il de prolonger ce développement durable cher à tous les écologistes politiques ? Est-ce la raison pour laquelle les médecins ne sont pas formés à la qualité de l’eau ? Essayons d’y boire un peu plus clair…
Lorsque l’eau du robinet est beaucoup plus écologique…
Selon l'étude de Niels Jungbluth de Zurich pour la SSIGE, boire 2 litres d'eau minérale par jour pendant une année équivaudrait à rouler environ 2000 km en voiture contre 2 kilomètres seulement avec l’eau potable du robinet, soit 1 000 moins !
Autre exemple pour marquer les esprits : boire un litre d'eau minérale provenant d'Angleterre équivaudrait à 3,1 dl de pétrole contre 0,003 dl pour 1 litre d'eau du robinet, soit 1 000 fois moins ! Pourquoi une eau minérale d’Angleterre et pas de Suisse ou de France ? Il fallait de toute évidence retomber sur ce facteur x1000…
Et cette étude de conclure « Du point de vue environnemental, mieux vaut donc boire de l'eau potable. »
Rebelote en 2021 avec un groupe de scientifiques espagnols pour une étude de cas (publiée en juillet 2021 dans Science of The Total Environment) sur la seule ville de Barcelone. Conclusion : sur les écosystèmes, l’eau en bouteille aurait un impact 1 400 fois plus important que l’eau du robinet…
Quant à l'excellent magazine décroissant Moins!, le combat est toujours à l'avantage de l'eau du robinet "d'un facteur 25 sur l'acidification à 271 sur l'eutrophisation (la pollution des eaux), en passant par 147 pour l'empreinte carbone!" (Ne pas être gourde, N°69, mars-avril 2024).
Et du point de vue de la santé ?
« S’il est vrai que l’eau du robinet peut contenir des trihalométhanes (THM) issus du processus de désinfection et que les THM sont associés au cancer de la vessie, notre étude montre qu’en raison de la grande qualité de l’eau du robinet à Barcelone, le risque pour la santé est faible, surtout si l’on tient compte de l’impact global de l’eau en bouteille. » développait Cristina Villanueva, épidémiologiste environnementale et coautrice de l’étude espagnole.
Et de conclure : « L’utilisation de filtres domestiques, en plus d’améliorer le goût et l’odeur de l’eau du robinet, peut réduire considérablement les niveaux de THM dans certains cas. Pour cette raison, l’eau du robinet filtrée est une bonne alternative. »
L’eau du robinet peut en réalité contenir bien d’autres choses et c’est ce que rappelle Christophe Magdelaine dans son excellent article sur notre-planete.info : « Doit-on préférer l'eau en bouteille ou l'eau du robinet pour notre santé ? Si cette question est plutôt tranchée d'un point vue environnemental, la conclusion est bien plus ardue lorsque l'on s'intéresse aux nombreux contaminants de l'eau : nitrates, pesticides, médicaments, métaux lourds, microplastiques qui souillent maintenant tous les écosystèmes. » Sans parler des polluants perfluorés PFAS qui ont fait l'actualité fin 2023.
Avec une question sous-jacente : préserver la planète au détriment de sa santé, est-ce vraiment une bonne idée, est-ce vraiment écologique ? Nous y reviendrons un peu plus bas…
L’impact écologique des bouteilles plastique…
Selon l’écologie « officielle », il n’y a vraiment aucune raison de continuer avec les bouteilles en plastique PET.
Car non seulement les bouteilles plastiques consomment de l’eau (7 litres d'eau pour la fabrication mais jusqu’à 50 litres avec le captage, le transport, la manutention, etc.) mais en plus elles polluent : les quelques 25 millions de bouteilles consommées tous les jours en France nécessiteraient à l’année 400 000 tonnes de pétrole et 8 milliards de kWh d’énergie pour les fabriquer.
Sans oublier que chaque bouteille parcourt en moyenne 300 km en camion. Selon l’étude Suisse de la SSIGE, 40 % de la charge écologique de l’eau minérale est due au transport du supermarché au domicile contre 25 % environ au transport du lieu de fabrication jusqu’au point de vente.
En fin de vie (rappelons que les bouteilles plastique sont à usage unique sous peine de développer les bactéries), seules 60% seraient correctement recyclées tandis que les autres participent en partie aux 4 000 000 km2 de déchets plastique dans les océans.
Bref, l’eau en bouteille n’est pas écologique du tout mais est-ce vraiment une surprise ? Boire l’eau du robinet permettrait d'économiser environ 10 kg de déchets par an et par personne par rapport à de l'eau embouteillée... et il y a bien d'autres (bonnes) raisons de ne plus consommer d'eau en plastique.
Les bouteilles en verre sont-elles plus écologiques ?
Le verre jouit d’une excellente réputation mais la confusion règne et le diable se cache dans les détails… Faire venir le verre jusqu’à l’usine d’embouteillage requiert déjà de beaux volumes de camions, sans commune mesure avec les petites éprouvettes en plastique pour former à l’usine les bouteilles en PET.
Le verre est recyclable indéfiniment à 100 % et 70 % du verre est recyclé mais fondre 1kg de verre nécessite beaucoup plus d’énergie que le plastique, la fabrication du verre à partir de sable (silice) requérant elle-même une température de 1'500 °C. Produire 1'000 kg de verre industriel requiert ainsi 256 kg de matière première de synthèse et 1'200 kWh pour un dégagement de 510 kg de CO2.
Le verre n’est ainsi pas du tout écologique s’il est à usage unique comme le sont malheureusement la plupart des bouteilles. À quand le retour de la consigne qui rendait le verre réutilisable moins coûteux que le plastique ?
L'écobilan réalisé par ESU-Services sur mandat de la SSIGE souligne que la provenance de l’eau serait bien plus importante en matière d’impacts environnementaux que son emballage. L’usage des bouteilles en verre consignées ne serait ainsi recommandable que dans les cas de courte distance entre l’usine d’embouteillage et le point de vente…
Et si l’eau était produite sur place à partir de l’eau du robinet pour un remplissage gratuit de bouteilles en verre ? C’est notre projet www.retoursource.ch , en attente de lieux de distribution, privés ou publics… En Suisse, tous les distributeurs qui se targuent de faire de l’écologie ont été approchés… mais pour rejeter l’initiative. Y aurait-il des intérêts économiques cachés ? La vente d’eau en bouteilles serait-elle trop rentable ?
L’écologie politique officielle vis-à-vis de l’eau…
Les injonctions de l’écologie politique ou médiatique sont partout et l’eau – ressource vitale par excellence – est naturellement concernée : il convient de la préserver à tout prix… y compris au prix d’une grossière infantilisation… la plus souvent dénuée de tout impact !
Le rapport de la SSIGE le confirme : par rapport à l'impact environnemental global d'un ménage, la consommation d'eau représente moins de 1%. Dès lors, restreindre sa consommation d’eau n’aurait quasiment aucune incidence sur la protection de l’environnement.
« En revanche, il faut économiser l'eau chaude, puisqu'en économisant beaucoup d'énergie de chauffage, on économise aussi beaucoup d'argent » indique le rapport. Ne serait-ce donc qu’une basse question financière ? Si prendre un bain permet de me détendre, de moins stresser ou d’avoir de bonnes idées, ne vais-je pas in fine plutôt économiser ou optimiser mon énergie par rapport à la simple douche ?
Fermer le robinet lorsque l’on se brosse les dents ? Equiper ses toilettes d'un économiseur d'eau ? Ne pas gaspiller l’eau relève du bon sens mais que penser de ces bâtiments estampillés Minergie (la référence écologique selon la norme officielle Suisse) où il faut parfois attendre plusieurs minutes en cuisine, robinet ouvert, avant d’obtenir enfin de l’eau froide ? Rappelons que consommer de l’eau chaude à même le robinet est déconseillé du fait de la prolifération microbienne…
Gaspiller de l’eau ?
Que signifie d’ailleurs « gaspiller de l’eau » ? L’eau circule en circuit fermée ce qui signifie que l’eau rejetée dans l’évier ou l’eau du bain (pour ceux qui osent encore continuer à en prendre) revient d’une manière ou d’une autre.
« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » (Lavoisier)
Même s’il est vrai que l’eau douce disponible ne représente que 0,01 % de l’eau totale et que la pénurie d'eau se développe dans certaines régions avec le changement climatique, l’eau se recycle en permanence et ne se renouvelle quasiment pas. « Nous buvons toujours la même eau que buvaient le diplodocus et le brontosaure il y a 150 millions d’années […] ce qui devrait nous rendre particulièrement vigilants quant à la conservation de sa qualité », explique Jacques Collin dans son premier livre, L’Eau, le miracle oublié.
La qualité de l’eau en effet. N’est-ce pas à l’aulne de celle-ci que devrait se jauger tout critère écologique ou gaspillage d’eau ? Avec alors quelques questions existentielles :
Si produire une eau de meilleure qualité entraîne un rejet d’eau, est-ce véritablement un gaspillage ?
Le véritable gaspillage de l’eau n’est-il pas de la maltraiter, à tel point que nous n’arrivons plus à l’apprécier correctement et devons parfois recourir à de l’eau en bouteille ?
Une eau oxydée (à cause du chlore) qui irrite la peau et ne permet pas une bonne hydratation n’entraîne-t-elle pas encore plus de gaspillages via l’usage des cosmétiques ou des médicaments ?
Quelles sont les eaux ou solutions les plus écologiques ?
Dans le classement du livre La qualité de l’eau, nous avons été très indulgent avec le critère « écologie », pris dans son sens actuel des économies d’énergie (du système) et de la moindre empreinte carbone ou CO2. Sans plastique ou transport (camions jusqu’aux supermarchés puis voitures jusqu’aux foyers), l’eau du robinet jouit évidemment d’une belle empreinte écologique… ce que les écologistes ne manquent jamais de nous rappeler.
Dans cette perspective, l’eau du robinet arrive naturellement en tête des solutions les plus écologiques. Viennent ensuite toute solution de filtration sans gaspillage d’eau ou d’électricité. L’empreinte écologique d’un litre d’eau filtrée via carafe filtrante est ainsi de 7 grammes de CO2 contre 194 grammes pour une bouteille en plastique vendue en supermarché : près de trente fois moins ! L’empreinte sera encore plus faible avec des filtres plus performants ou de plus grandes capacités…
Mention spéciale également à la douche géothermale qui, au-delà des économies d'eau via les micro-jets, améliore significativement la qualité énergétique de l’eau, ce qui permet de se passer de savon et de cosmétiques plus ou moins chimiques, ce que la planète évidemment apprécie.
Et les solutions eau les moins écologiques ?
A l’inverse, quelles sont les pires solutions écologiques ? Juste à côté des bouteilles en plastique, nous trouvons le désastreux adoucisseur à sodium et tant pis pour le marketing greenwashing ! Le marketing ose tout et c’est à cela qu’on le reconnaît. Les vendeurs d’adoucisseurs osent ainsi évoquer l’écologie au prétexte d’économies minimes de savon ou de lessive. L’impact du sodium rejeté dans les eaux est forcément moins discuté alors que le sodium contribue à la destruction des sols et à l’intoxication des organismes vivants. L’usage d’un adoucisseur entraîne en outre un gaspillage d’eau supplémentaire… et une surconsommation de bouteilles plastique, l’eau adoucie étant peu agréable à boire… et fortement déconseillée !
Les osmoseurs sont généralement critiquée par les vertueux écologistes au motif de leur rejet en eau, de 3 à 8 litres d’eau pour les modèles connectés mais de 1 litre pour 5 litres d’eau produite seulement pour les derniers modèles non connectés et de 1 litre pour 1 litre pour quelques autres… ce qui n’est pas, vous en conviendrez, la mer à boire. Rappelons qu’une chasse d’eau de toilettes classique consomme en moyenne 9 litres d’eau et que la production en osmose ne concerne normalement que l’eau de consommation courante.
De l’écologie politique à l’écologie personnelle…
C’est le moment de nous interroger sur le sens du terme écologie et la manière dont il a été dévoyé afin de favoriser certains intérêts économiques. Lorsque les mots et les définitions changent de sens, la confusion prédomine ! Dans son sens premier ou traditionnel l’écologie – du grec oikos (« maison, habitat ») et logos (« discours ») – est la science des conditions d’existence dans un environnement donné… Non pas le développement le plus durable possible via une consommation hors de chez soi mais un retour aux sources axé sur le respect des fondamentaux de la santé et de la vitalité. Non pas les économies d’énergie (du système) mais la préservation de l’énergie des citoyens. Et cela change totalement la donne… et le classement écologique !
Il est temps de changer de paradigme et donc de point de vue : préserver sa santé et sa vitalité afin de moins souvent tomber malade a un impact sur la planète autrement plus important que d’acheter une voiture électrique ! 1 kg d’antibiotiques requiert 1 million de litres d’eau...
Or il se trouve que cette vitalité requiert une hydratation de qualité et que la seule façon de l’obtenir est d’avoir accès à une eau biocompatible, c’est-à-dire adaptée aux besoins de l’organisme. La question écologique la plus importante est ainsi celle-ci : comment accéder à une eau qui me donne véritablement plaisir à boire ?
Quelles sont les meilleures eaux de l’écologie personnelle ?
Du point de vue de l’écologie personnelle ou « étymologique », les meilleures solutions sont celles qui, à partir de l’eau du robinet, améliorent la qualité de l’eau tout en évitant tout risque supplémentaires. Ceci exclut a priori les fontaines à eau à plus ou moins gros réservoir (sources de bactéries sinon de scandales comme pour les filtres Berkey) ou à sodium (filtres de certaines carafes filtrantes ou adoucisseur). Cela intègre normalement – au-delà du filtre – un principe de dynamisation afin de retrouver une eau au naturel et le plaisir de boire. Après un filtre à charbon actif, la cruche à vortex est par exemple une excellente solution budget : certes, elle est en plastique (éco-friendly) mais elle permet d’éviter le PET des bouteilles avec une eau beaucoup plus douce et agréable !
Le meilleur système requiert toutefois de descendre à la cave pour y installer une filtration et une dynamisation sur l’arrivée d’eau principale : une solution intégrale pour l’ensemble d’un habitat améliore forcément les conditions d’existence de l’habitat, ce qui est le sens premier du terme « écologie » ! Tous les robinets bénéficient ainsi d’une eau de meilleure qualité avec, pour le Biofiltre + Biodynamizer, une gestion intelligente du calcaire et l’énergie d’une eau de source de montagne !
Alors, correctement hydraté via une eau biocompatible, il est enfin possible de dire adieu aux bouteilles plastiques et aux cosmétiques chimiques ! Qui a dit qu’il n’y avait pas de solutions concrètes pour aider la planète ?
« Nous sommes mal en point, car nous maltraitons l’eau. Améliorons enfin sa qualité et nous irons tous beaucoup mieux. »
Pour en savoir beaucoup plus sur la qualité écologique (ou non) de l'eau du robinet :
Article de base pour éviter les arnaques de l'eau
Article de fond sur les derniers scandales de l'eau
Les 3 problématiques et solutions Eau : www.solutionsbio.ch/eau
Conférence-Tutoriel (Youtube) : La vraie qualité de l’eau (21’58) / Vidéo Impact (2'51) Le site de référence sur l'eau : www.eaunaturelle.ch
Fiches pdf : L’eau et la vie / Comparatif des eaux minérales / Comparatif Solutions Eau
Mon livre La qualité de l’eau (Ed. Médicis, 2020)
Synthèse pdf de 15 pages: La qualité de l'eau et le plaisir de boire
Me contacter pour une analyse gratuite et experte de votre situation : +41 (0)76 532 8838 (rappel possible), sms ou mail
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