La Bioélectronique de Vincent (BEV) est considérée comme la science énergétique de l’eau (et des aliments). Mais pourquoi n’entend-on jamais parler d'elle ? Pourquoi est-elle autant caricaturée sinon censurée, notamment par Wikipedia ? La BEV dérangerait-elle par hasard certains intérêts économiques ? Découverte des paramètres de cette science toujours novatrice pour mesurer précisément la qualité de l'eau puis solutions pratiques pour retrouver une eau biocompatible et le plaisir de boire, sans plastique et sans risques avec l'auteur du livre La Qualité de l'eau.
<<< Bioélectronigramme de gauche sur les eaux et les aliments disponible sur la fiche pdf consacrée à la BEV.
Pour vous repérer facilement dans l'article :
Voir également mon article dans le magazine NEXUS N°147, Juillet -Août 2023
La Bioélectronique de Vincent (BEV) en 3 minutes :
La Bioélectronique de Vincent (BEV pour les intimes) est la référence de (presque tous) les passionnés de l’eau. Elle est occultée par (presque tous) les autres, dont les pouvoirs publics, les embouteilleurs, les Régies distributrices d’eau, Big Pharma, l’industrie agro-alimentaire dans son ensemble... et Wikipedia !
Que dit donc la Bioélectronique de si dérangeant ? Pour simplifier : que nous avons besoin d’énergie! De quelle énergie (taboue) parle-t-on ? De l’énergie fondamentale, au cœur des atomes et des molécules constitutifs de la matière et du vivant : les protons et les électrons. Eh oui, cette énergie là n’a rien d’ésotérique et c’est sans doute pour cela qu'elle dérange ! Que recommande la Bioélectronique de Vincent ? De consommer une eau et des aliments chargés d’énergie et d’éviter ceux qui en sont dépourvus… c’est-à-dire les eaux chlorées, trop minéralisées ou encore la malbouffe industrielle. C'est du bon sens et donc évidemment que cela dérange !
Pire, cette énergie fondamentale se mesure relativement facilement par électrodes via deux paramètres physico-chimiques de base :
La richesse en protons se mesure par le potentiel hydrogène ou pH : plus une eau est acide (pH < 7), plus elle est riche en protons (ions hydrogène H+) et en activité magnétique. Attention ici à ne pas confondre alcalin et alcalinisant, ne pas oublier l’effet tampon de l’organisme : l’acidose est plutôt lié à des eaux ou aliments peu énergétiques c'est-à-dire à tendance alcalin !
La richesse en électrons se mesure par le facteur d’oxydoréduction ou rH2 : plus une eau ou un aliment est oxydé (rH2 > 28), moins il apporte d'énergie électrique à l'organisme et permettra ainsi le développement des radicaux libres responsables (notamment) du vieillissement (notamment) cutané.
Selon le site Eautarcie.org du feu professeur Joseph Országh, l'eau biocompatible "est faiblement minéralisée, légèrement acide et possède un caractère redox indifférent ou légèrement réducteur, jamais oxydant (par rapport à l'eau chimiquement pure)."
Traduit en chiffres, l'eau biocompatible "parfaite" ou "idéale" devrait avoir les caractéristiques bioélectroniques suivantes:
légèrement acide (pH compris entre 5,5 et 6,8)
eau antioxydante, neutre ou légèrement réductrice (rH2 compris entre 25 et 28)
aussi peu minéralisée que possible (résidu sec inférieur à 120mg/L voire moins de 50 mg/L., tout en n'étant pas totalement vide afin d'être en mesure de structurer l'eau.)
résistivité supérieure à 6 000 ohms (mais inférieure à 50 000 ohms, aucune eau naturelle n'étant aussi pure)
« L’eau est importante pour ce qu’elle emporte et non pour ce qu’elle apporte ». (rengaine des bioélectroniciens)
« Pour juger de la qualité d’une eau et de son “caractère vivant”, il faut élargir notablement les éléments d’appréciation et passer d’une analyse purement chimique à une évaluation globale dans laquelle les critères physiques et physico-organiques occupent une place prépondérante : vivacité, niveau d’énergie, surface interne ou structure de l’eau. Autrement dit, évaluer la capacité de l’eau à transmettre la vie afin qu’elle redevienne un aliment source de vie », indiquent Zerluth et Gienger dans leur livre L’eau et ses secrets (Ed. Désiris).
Nous touchons là aux limites de la Bioélectronique. Les paramètres physico-chimiques de base (pH et rH2) ne captent en effet pas toujours l’énergie subtile de l’eau obtenue après dynamisation, liée notamment à l’agencement des molécules d’eau entre elles via la liaison hydrogène. Cette autre énergie, immédiatement perceptible en bouche sous la forme d'une eau plus douce et agréable à boire, se mesure alors via des tests biologiques… pour une nette différence Avant-Après.
La théorie énergétique de la Bioélectronique de Vincent (BEV) est ainsi utile pour éviter le pire (eaux chlorées, adoucies ou trop minéralisées) et élargir les perspectives mais la meilleure eau est celle qui nous redonne le plaisir de boire... en pratique ! Ainsi, lors de tests réalisés durant deux ans dans notre Arcade de Genève, 8 personnes sur 10 préféraient l’eau filtrée et dynamisée via un système intégral type Biofiltre + Biodynamizer à l’eau osmosée et dynamisée présentant pourtant de meilleurs paramètres énergétiques de BEV. Comme quoi, la théorie doit parfois s’effacer devant le ressenti… de l’eau biocompatible !
Questions-Réponses sur la Bioélectronique de Vincent (BEV):
La bioélectronique de Vincent est-elle une science ? Si l’on considère le caractère rigoureux et reproductible des résultats, la BEV, qui s’appuie en outre sur des mesures physico-chimiques précises de la conductivité, des protons et des électrons, est évidemment une approche scientifique. En 1976 est d'ailleurs organisé en Allemagne le premier congrès de Bio-Electronique, qui réunit cent vingt médecins, chercheurs ou délégués officiels et entérine les résultats de mesures effectuées sur plus de soixante milles sujets. De nos jours, si l’on considère par contre le peu d’intérêt que suscite la BEV, l’absence d’enseignement officiel ou encore le manque de fiabilité de certains appareils de mesures, alors la BEV peut être classée dans ces approches loufoques qui ne méritent que mépris et scepticisme, oubliant que la science est avant tout ouverture d’esprit et curiosité intellectuelle.
La bioélectronique est-elle une science exacte ? A part les mathématiques, aucune science n’est exacte. Une théorie scientifique n’est valable que jusqu’au moment où elle est prouvée fausse par une nouvelle avancée scientifique. La science avance ainsi par tâtonnement, grâce à des scientifiques curieux et courageux. La Bioélectronique a fait l’objet de centaines de milliers de mesures et d’analyses qui ont démontré sa base scientifique rigoureuse mais tout ceci se passait surtout du temps de Louis-Claude Vincent. Les calculs du Professeur Joseph Országh, notamment sur la notion de rH2, n’ont pas non plus été remis en cause, ils ont simplement été ignorés. Jusqu’à preuves scientifiques (et non préjugés scientistes) du contraire, les paramètres de la BEV demeurent donc à ce jour valables.
Pourquoi les scientifiques critiquent-t-ils la Bioélectronique ? Les véritables scientifiques devraient tous s’intéresser à la Bioélectronique, qui élargit sensiblement les perspectives de compréhension du vivant et procure des paramètres fiables pour mesurer l’énergie des liquides, des aliments ou encore des sols ou des remèdes, permettant ainsi une approche qualitative de tout ce que nous ingérons. Les scientistes, par contre, ne peuvent que craindre et donc critiquer ce dont ils n’ont jamais entendu parler durant leurs études et qui remet ainsi en cause leurs certitudes. Ces personnes se croient scientifiques alors qu’ils ont simplement été formatés et se retrouvent sous conflits d’intérêt : ne pas penser en dehors des clous afin de ne pas mettre en péril les industries et produits qui les font vivre. C’est le cas notamment des nutritionnistes (qui travaillent encore trop souvent pour l’agro-alimentaire), des chercheurs (financés par les multinationales) ou des médecins allopathiques, aucun n’ayant en outre été correctement formé à la qualité de l’eau.
Que risquent donc les professionnels ou les industriels avec la Bioélectronique de Vincent ? Tout simplement de tout perdre : leurs préjugés et leurs revenus ! Prenons l’exemple de la nutrition. Les nutritionnistes sont en premier lieu médecin c’est-à-dire formatés par de très longues études à (notamment) penser que le corps humain est tellement complexe qu’il doit être divisé en autant d’organes qu’il y a de spécialistes. La vision globale, faite à environ 97% de molécules d’eau, est d’autant plus vite perdue qu’aucun cours n’est consacré aux quelque 75 anomalies scientifiques de l’eau (ne pas comprendre est mauvais pour l’orgueil) ou à la qualité énergétique de l’eau. Cet aspect énergétique n’est pas enseigné parce que la médecine officielle est orientée vers les mesures quantitatives, la peur des microbes et la prescription allopathique d’un unique principe actif synthétique, loin de la complexité réelle de la vie. Ainsi, on se retrouve par exemple en nutrition à quantifier dans des tableaux (repris sur les étiquettes des marques) les minéraux inorganiques des eaux par rapport aux ANC (Apports Nutritionnels Conseillés), approche scientifiquement frauduleuse puisque seulement une petite partie des minéraux inorganiques - et non 100% comme on aimerait nous le faire croire - peut être absorbée par l’organisme. Le reste est éliminé ou vient encrasser. La vision plus qualitative de la Bioélectronique de Vincent conduirait ainsi à vite rejeter les eaux fortement minéralisées, première étape avant de rejeter la malbouffe, puis les médicaments allopathiques, puis le système hors-sol dans son ensemble.
La Bioélectronique est-elle la science de l’eau ? La BEV est considérée par tous ceux qui s’intéressent à l’eau comme la science énergétique de l’eau. Elle doit cette considération à son antériorité, ayant été lancée en 1948. Aujourd’hui, compte tenu des recherches plus récentes et du développement de l’approche quantique, nous dirions plutôt que la Bioélectronique est l’approche scientifique physico-chimique de l’énergie de l’eau. La BEV se concentre en effet surtout sur des analyses quantitatives physico-chimiques afin de mesurer la richesse de l’eau en minéraux (un chiffre élevé étant négatif), en protons et en électrons. Des calculs savants permettent ensuite d’exprimer précisément le rH2 ou la quantification énergétique (W) de l’eau. C’est un bon début, qui permet de repérer le pire, mais l’eau est encore plus complexe que cela et s’exprime dans un langage qui reste encore à décoder et qui échappe aux mesures traditionnelles. Des tests biologiques mettent ainsi en évidence une énergie encore plus subtile, tandis que l’agencement des molécules d’eau entre-elles reste un mystère à explorer.
Comment la Bioélectronique peut-elle m’aider à mieux boire ? La BEV met en évidence l’énergie fondamentale (protons + électrons) des eaux ou des aliments. Tout ce que nous consommons devrait nous apporter de l’énergie sous la forme de protons et d’électrons. Ou, pour le dire autrement, nous devrions éviter toute eau ou aliment dépourvus d’énergie magnétique ou électrique. Exit ainsi, autant que possible (les digressions “plaisir” ayant leur importance), l’eau du robinet chlorée, les eaux fortement minéralisées, les eaux adoucies, les eaux distillées ou les eaux chargées en CO2. Bref, toutes les eaux de la malbouffe ! Nous évitons ainsi le pire mais nous ne sommes pas encore rendus au meilleur. Celui-ci est un peu plus compliqué à définir : s’agit-il de l’eau répondant stricto-sensu aux paramètres de la Bioélectronique c’est-à-dire quelques rares eaux de source en bouteille ou l’eau osmosée ou bien plutôt l’eau la plus agréable à boire, que l’organisme redemande encore et encore ? Est-ce une eau artificielle ayant subi de violents traitements (mise en bouteille ou osmose) ou bien l’eau la plus naturelle possible, qui a retrouvé sa plus subtile énergie originelle ? Mes expériences tendent vers cette seconde approche : au-delà des analyses physico-chimiques, la dynamisation ou l’information de l’eau font ce qui fait la différence entre une eau théoriquement “parfaite” et une eau que l’on a véritablement plaisir à boire, seule manière, in fine, d’être correctement hydraté.
Faut-il se méfier de la Bioélectronique de Vincent ? En soi, il convient de toujours se méfier de ce qui est quantifié ou repris sans réflexion par les affaires. De nombreux vendeurs d’osmoseurs se réclament ainsi de la BEV pour vendre leurs dispositifs de filtration, oubliant l’importance en second lieu de la dynamisation. On peut très bien se retrouver avec une eau “parfaite” selon les paramètres de la BEV et n'avoir aucun plaisir à boire. Améliorer les paramètres énergétiques de base est toujours une bonne chose - surtout lorsque l’on part de la désastreuses eau chlorée du robinet - mais il s’agit de ne pas aller trop loin dans le raisonnement et de garder à l’esprit que l’eau est avant tout un vecteur énergétique d’information. Avoir supprimé le chlore et une bonne partie des minéraux inorganiques et avoir au contraire favorisé les protons et les électrons est évidemment bénéfique mais ces mesures quantitatives ne devraient jamais occulter le ressenti qualitatif corporel : ai-je ou non plaisir à boire cette eau et vais-je du coup en boire suffisamment ? La BEV est la base scientifique mais l’expérience biologique correspond à l'intuition de l’eau...
Quels sont les autres risques de la Bioélectronique ? La BEV procure des analyses fiables des liquides ou solutions aqueuses. Il n’en va pas forcément de même des analyses des liquides physiologiques que sont le sang, la salive et les urines... et des extrapolations qui en sont faites ! Il est fort regrettable que la médecine moderne ne s’intéresse pas davantage à la Bioélectronique car nous avons là une méthode de diagnostic rigoureux de l’état énergétique d’une personne à un instant T. Encore faut-il que les prélèvements et analyses soient faites dans les règles de l’art avec des appareils fiables. Si les analyses de salive ou d’urines ne sont pas encore trop compliquées, il n’en va pas de même pour l’analyse sanguine, au protocole précis et pas toujours respecté. Dès lors, les résultats sont faussés et les conseils donnés forcément biaisés. La BEV appliquée à la santé humaine en dehors d’un milieu médical strict ou via des appareils de mesure incorrectement calibrés est donc un risque… ce qui permet à la médecine officielle de la critiquer encore un peu plus.
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Encore mieux comprendre la Bioélectronique de Vincent (BEV):
Le parcours de Louis-Claude Vincent et ses découvertes mériteraient un Prix Nobel mais il n’a toujours pas de rue à son nom dans sa ville natale du Puy-en-Velay ! Quant à sa fiche Wikipédia, elle a longtemps été caricaturale sinon injurieuse avec 5 lignes en tout et pour tout sur la Bioélectronique... et pour la critiquer ! Mais c’est malheureusement un classique : ce qui dérange est souvent ridiculisé… sinon censuré !
Louis Claude Vincent, un ingénieur au service de l’eau…
Ingénieur hydrologue et diplômé de l’École supérieure des travaux publics, Louis-Claude Vincent (1906-1988) a consacré toute sa vie à l’eau, à la santé… et au lien entre les deux ! Ingénieur conseil durant douze ans pour les services d’eau et d’égout de centaines de communes françaises, aux premières loges, donc, de la qualité potable de l’eau, il acquiert statistiquement la conviction que « les taux de mortalité due aux maladies graves (tuberculose, cancer, maladies cardiovasculaires…) sont directement liés à la qualité de l’eau délivrée aux populations. Ces taux augmentent quand l’eau est très minéralisée et rendue “potable” après traitement et adjonction de produits chimiques oxydants comme le chlore ».
Un lien statistique entre les taux de cancer et les minéraux ou le chlore des eaux ? Difficile sans doute, avec un constat pareil, de continuer à travailler pour le service des eaux. Louis Claude Vincent s’oriente alors vers la création de barrages hydroélectriques pour le compte d’EDF. Rien de tel qu’un peu d’électricité pour faire la lumière : en 1948, associant l’eau, l’énergie et la santé biologique, il fonde – avec le docteur en pharmacie Jeanne Rousseau – la science moderne de l’eau : la Bioélectronique .
L'uchronie Bioélectronique…
Cette nouvelle science est au départ – comme toute nouveauté scientifique – farouchement combattue par les mandarins de la médecine et la meute des scientistes. On leur rétorqua toutefois que :
1/ Tout dans l’univers est électromagnétisme c’est-à-dire interactions de particules chargées électriquement. Il suffit d’électrodes plongées dans un liquide pour y mesurer l’activité en protons (H+) et en électrons (e-) c’est-à-dire en énergie magnétique et électrique.
2/ Les calculs et formules – notamment pour la notion essentielle de rH2, voir les travaux des professeurs József Országh ou André Fougerousse, ancien Directeur de la Faculté de chimie de Strasbourg – de la BEV sont rigoureux et confortés par suffisamment de mesures de terrain pour valider les hypothèses initiales.
3/ La santé et le « Bon Equilibre Vital » ou homéostasie des citoyens n’a pas de prix et passe avant les préjugés de quelques-uns ou le profit des multinationales.
Comme le déclara le Dr Marc Salomon, cardiologue : « Passons de l’univers de la maladie à l’univers de la santé, seul moyen réel, d’améliorer la qualité de vie, d’allonger l’espérance de vie sans maladie chronique et de réguler les dépenses de santé ». (Le Monde, samedi 22 août 2020.)
Un autre paradigme…
Bref, le bon sens finit par s’imposer, y compris sur Wikipedia, où la page consacrée à Louis Pasteur, présenté comme un imposteur chimiste et hémiplégique, est finalement supprimée en décembre 2022. Dans l’ensemble des villes, les rues Pasteur sont remplacées par des rue Claude Bernard, Antoine Béchamp ou Louis-Claude Vincent, notamment dans sa ville de naissance du Puy-en-Velay où il y est célébré comme un bienfaiteur de l’humanité.
Depuis, le monde n’est plus tout à fait le même :
- La BEV est enseignée à la Faculté de médecine : « La vie a ses lois. Ce sont elles qu’il faut connaître, respecter et enseigner pour une meilleure santé » (Louis-Claude Vincent). La préservation du terrain et la prévention remplacent bientôt la gestion chimique des pathologies. Des diagnostics précis et fiables sont réalisés afin de détecter en amont les risques et permettre ainsi de rectifier les déviations. Le message est clair et le patient responsabilisé à privilégier la qualité sur la quantité. La symptomatique constitue désormais une niche, peu rentable depuis que l’essentiel des citoyens préfèrent demeurer en bonne santé. Le cancer cesse enfin de progresser et la durée moyenne de vie en bonne santé s’améliore. Big Pharma devient Small Pharma.
- Fin 2019, un nouveau virus est repéré en Chine avec risque de pandémie. Le Président Français prend la parole pour rappeler que la guerre contre les virus est anxiogène et fragilise : « Le microbe n’est rien, le terrain est tout » (Claude Bernard), « tout micro-organisme doué de vie ne se développe que sur un terrain qui lui est favorable » (André Fougerousse) Les personnes affaiblies et à risque devront donc renforcer leurs terrains. Médecins traitants et naturopathes sont mis à contribution auprès des personnes âgées et des EHPAD pour les aider à passer le cap à coup d’hydratation de qualité, d’alimentation vivante, de vitamines, de respiration et d’activité physique au grand air. Chaque soir, la TV comptabilise le nombre de personnes ainsi en meilleure santé dans le pays.
- En agriculture, les mesures en bioélectronique des sols ayant démontré les ravages des intrants chimiques, les agriculteurs retouchent terre et se convertissent à l’agriculture biologique, la seule dorénavant subventionnée. Après quelques années de transition afin de renouveler l’humus et grâce à un usage généralisé d’eau dynamisée (en moindre quantité), de bien meilleurs rendements sont obtenus, pour un coût et un endettement réduit. Une banque agricole et les fabricants d’OGM font faillite. Pas grand monde ne les regrette car le pain est bien meilleur !
- Côté alimentation, les slogans quantitatifs sont abandonnés et les tableaux nutritionnels incompréhensibles remplacés par un code de trois couleurs : vert pour les aliments apportant de l’énergie et renforçant le terrain, orange pour les neutres et rouge pour la malbouffe délétère. Avec un taux de TVA distinct selon la couleur des produits, les magasins bio et les marchés deviennent les nouveaux hard-discount tandis que les grosses surfaces périclitent.
- La qualité de l’eau fait désormais l’objet de toutes les attentions. « A la limite, à quoi bon manger bio si mon eau n’est pas de qualité ? » Les normes de potabilité pour les Eaux Destinées à la Consommation Humaine (EDCH) sont complétées par les normes de la biocompatibilité, bien plus restrictives : une eau ne peut plus être trop minérale, alcaline ou oxydée. A l’exemple des villes précurseurs comme Amsterdam, Zurich ou L’Île de France, les régies abandonnent ainsi progressivement l’usage du chlore oxydant… Immédiatement, la majorité des problèmes de peau disparaissent. De nombreux fabricants de cosmétiques chimiques font faillite « parce qu’ils ne valent rien ».
- Un appel au boycott est lancé contre les bouteilles en plastique. Les sources très minérales (au-delà de 500 mg/L) ne sont plus vendues que dans des bouteilles en verre et en pharmacie, sous supervision médicale. La plupart des magasins bio et de plus en plus de lieux publics sont équipés de sources d’eau biocompatibles, accessibles gratuitement pour le remplissage. De nombreux citoyens sont toutefois équipés de filtres et de dynamiseurs et retrouvent chez eux, sur un ou tous leurs robinets, une eau équivalente en énergie à une source de montagne. Les embouteilleurs se recyclent dans le yaourt.
- La BEV s’étend à l’international. Le premier congrès de la SIBEV (Société Internationale de Bio-Electronique Vincent) a lieu les 14 et 15 février 1976 à Königstein (RFA). Organisé par le Dr Pohlmann de l’Institut Max Planck, il rassemble cent vingt médecins, chercheurs et délégués officiels. Il consacre les résultats de mesures effectuées sur plus de soixante milles sujets. Note : fait véridique.
- La NASA américaine, reconnaissante pour les techniques simples employées pour mesurer la bonne santé de ses astronautes (sur le sang, l’urine et la salive) offre à Louis-Claude Vincent un voyage dans l’espace…
La Bioélectronique, la science qui dérange…
Cessons de rêver : regagnons la Terre et la réalité sous conflits d’intérêt…
« Le caractère scientifique dont se réclame la bio-électronique de Vincent n’est pas reconnu par la communauté scientifique ; la bio-électronique de Vincent fonctionnerait sur ce que le physicien français Sébastien Point, chroniqueur pour la revue Science et pseudo-sciences, qualifie d’“apparente scientificité”. Dans un autre article, le même auteur […] dénonce la naissance d’un “corpus pseudo-scientifique autosuffisant” », découvrait- on sur Wikipédia (avant que la page ne soit supprimée) à propos de Louis-Claude Vincent.
Alors, pseudo-science ou science qui dérange ? Le point de vue de M. Point est révélateur des pratiques (trop souvent) utilisées pour ridiculiser une démarche que l’on ne souhaite surtout pas comprendre. Étudier un minimum la BEV ou lire quelques livres sérieux était sans doute trop compliqué. Entre amalgames et grand n’importe quoi, le physicien - dans son article La bio-électronique : noyée dans un verre d’eau - reproche essentiellement à la Bioélectronique d’être expliquée (sur Internet) par des sites non scientifiques dont il sélectionne, hors contexte, les citations les plus caricaturales… pour caricaturer ! La BEV expliquée par des nuls ne peut être que nulle. La physique quantique devrait-elle également être rejetée en bloc parce que des néophytes se permettent d’en parler ? À suivre la démarche pseudo-scientifique de M. Point, c’est toute la science qui s’écroulerait…
Le physicien enfonce le clou dans une vidéo surréaliste : une présentation de la BEV au conditionnel pour ensuite, sans aucun argument ou démonstration, conclure que ce ne peut être vrai parce qu’il en a décidé ainsi, du haut de ses « 11 années d'études scientifiques universitaires, complétées par 10 ans d'exercice de Recherche appliquée, de management de R&D et d'expertise scientifique » (sic !).
Avec 493 vues en 6 ans, la vidéo n'est pas un triomphe de la pensée scientifique et les critiques l’emportent de fait sur les louanges : « Faire une vidéo sans AUCUN argument témoigne d'un sérieux manque d'électrons ;) et une absence d'émerveillement devant la complexité de la Nature » souligne avec humour un internaute, « Pensez vous connaître la Vérité? Quel gourou êtes-vous? Quel pouvoir surnaturel détenez vous pour être aussi sûr de vous?? » demande une autre.
La science officielle du système – que nous devrions appeler plutôt « scientisme » ne veut pas entendre parler d’énergie car ni ses aliments ni ses remèdes n’en sont pourvus. Or, comme le disait Upton Sinclair, « Difficile pour un homme de comprendre une chose si son salaire dépend de ce qu’il ne la comprenne pas ».
Censurer la BEV, le cas Wikipedia
Si critiquer ne suffit pas, il existe une autre stratégie, encore plus extrême : ne plus en parler du tout ! La page Wikipedia consacrée à Louis-Claude Vincent a ainsi disparu fin 2022...
Comment une telle page peut-elle être soudainement supprimée ? Les coulisses de Wikipedia laissent heureusement des traces. Le 15 décembre 2022, un internaute lançait la procédure au motif qu’il n’avait « Pas identifié de sources secondaires d'envergure nationale centrées. » Une dizaine de livres au moins (du didactique au très scientifique) ont été publiés sur le sujet par des maisons d’édition indépendantes, sans parler des travaux du très scientifiques József Országh mais passons…
Le processus était lancé. Le débat – pour ou contre la suppression de l’article – durerait généreusement 168 heures soit 7 jours. Tout contributeur (de plus de 50 contributions) pouvait participer mais les contributeurs à l’article n’étaient curieusement pas prévenus. Après ce délai « un contributeur ayant réalisé au moins 500 modifications et ayant 3 mois d'ancienneté qui n'aura pas pris part au débat peut clore la proposition et indiquer si la page est conservée ou supprimée ».
Avec 2 voix contre et 4 voix pour – « ne répond pas aux critères, peu de sources, ne semble pas notoire », « Rien trouvé, sauf sur des sites de pseudo science », « Sources insuffisantes » ou encore « Aucune source secondaire centrée. » – l’article fut supprimé le 29 décembre 2022. Il ne répondait pas aux critères de Wikipedia ? Les règles d’admissibilité précisent pourtant « Le sujet doit avoir été l'objet principal d'un ouvrage publié à compte d'éditeur ». Rien trouvé ? 32 700 résultats sur Google apparaissaient alors à la recherche « Bioélectronique »…
Le poids du conformisme et de la censure n’a jamais été aussi vivace tandis que le manque d’objectivité de Wikipedia est de notoriété pour tout sujet hors des sentiers battus du scientisme officiel. La disparition de cette page est-elle toutefois un mal ? J’y avais présenté les bases de la BEV mais, objectivement, Louis-Claude Vincent n’y était pas à son avantage...
Sur 1/3 de la page, Vincent y était en effet accusé d'être le « vulgarisateur du très nazi "Message d’Uppsala", un texte dont il était cité un large et en effet honteux extrait. Vincent était-il le rédacteur de ce texte ? Non ! Comment en aurait-il été le "vulgarisateur" ? Mystère... L'homme avait certainement des zones d'ombre (et un sale caractère) mais l'objectif était de toute évidence ailleurs : accuser quelqu'un de racisme (en dépit de ses nombreux écrits où rien ne transparaît) afin de décrédibiliser ses recherches et découvertes... Le Point Godwin dégainé parce que la Bioélectronique dérange ! Pourquoi pas accuser Vincent de complotisme tant que l'on y était ?
La censure Wikipedia : de la suppression à l'exclusion !
La page sur Louis-Claude Vincent supprimée, fort de mon article paru dans le magazine Nexus, je décidais en septembre 2023 de rédiger un article Wikipedia sur la Bioélectronique. Je fis bien attention à respecter la charte, à tout mettre au conditionnel, à citer les critiques et à sourcer le tout via de nombreuses références scientifiques. Je rédigeais également un article pour expliquer pourquoi la BEV, au regard de sa notoriété dans le milieu énergétique (tout dans l'univers est électromagnétisme), avait selon moi toute sa place sur l’encyclopédie participative.
Un certain Habertix réagit rapidement : il demandait davantage de sources, sans préciser pour quelles sections et terminait par un “Qu'une phrase soit au conditionnel ou à l'indicatif, elle doit être sourcée. Si seuls des sites ésotériques valorisent la BEV, cela peut indiquer que la BEV n'est qu'un concept fumeux.”
J’avais pourtant cité plusieurs scientifiques et une thèse en médecine sur le sujet… Je répondais immédiatement :
Ou alors que la BEV dérange au plus haut point car révélant un aspect qualitatif (typiquement le rH2 ou taux d'oxydo-réduction) contradictoire avec le discours rassurant des pouvoirs publics quant à la qualité de l'eau potable, la malbouffe ou les affaires !
Esotérique ne signifie pas nécessairement avoir tort (même si certains sites sont effectivement très limites) mais signifie plutôt que l'on sort des préjugés classiques du scientisme. Ce scientisme actuel (sous conflit d'intérêt avec l'essentiel de la recherche financée par les multinationales) ne doit pas être confondu avec l'approche scientifique qui, elle, conserve sa curiosité et son ouverture d'esprit.
Ce n'est pas parce que l'on ne comprend pas (ou ne souhaite pas comprendre) que cela n'existe pas ou n'est pas possible. Nous sommes par exemple très loin d'être fait le tour de la complexité de l'eau ! De fait, de nombreux scientifiques se sont intéressés à la BEV et il conviendrait au minimum de se pencher sur leurs travaux avant de critiquer par dogmatisme. Je rappelle aussi que les mesures de la BEV se font par électrodes et non transes incantatoires !
Le 10 octobre 2023 à 15:07, Kelam, sans aucune concertation préalable, décida courageusement de supprimer la page Bioélectronique de Vincent. Je lui demandais des explications :
Bonjour Kelam,
Pourriez-vous svp m'expliquer pourquoi mon article a été supprimé sans que je sois informé ou puisse même participer au débat.
Je lis que vous êtes spécialiste en:
- Le développement des pages de mathématiques de niveau enseignement supérieur
- Le projet Jeu vidéo
- Différentes pages de mangas et séries TV récentes
- L'orthographe et la chasse au vandalisme
En quoi tout cela - plus que respectable - vous donne-t-il autorité pour censurer un article d'un expert de l'eau sur un sujet faisant l'objet d'une dizaine d'ouvrages au moins et contenant des citations de chimistes de haut niveau ?
Décision communautaire de qui exactement ? Une discussion était en outre en cours avec Habertix. Tout cela a-t-il disparu ?
Merci d'avance pour vos précisions mais j'ai l'impression que je découvre ici la face très sombre de Wikipedia...
Cordiales salutations,
Il eut au moins l’amabilité de me répondre : “Ma décision repose sur la discussion autour de [[Louis-Claude Vincent]], article que vous aviez vous-même créé. Donc à vos insinuations de censure, je peux vous retourner un forcing pour faire parler d'une théorie pseudo-scientifique dont vous êtes bien difficilement capable de démontrer l'admissibilité encyclopédique.”
Je répondis quelques jours plus tard :
Censures et dérives Wikipedia
Merci Kelam pour ces quelques lignes qui ne répondent toutefois pas à mes questions.
Je n'ai pas créé l'article sur Louis-Claude Vincent, j’y ai simplement participé. Cet article partait dans tous les sens et manquait de sources fiables quant aux diffamations en dessous de la ceinture et aux critiques, comme s’il fallait à tout prix décrédibiliser l’ingénieur hydrologue. Là, curieusement, aucun modérateur n’était intervenu. La pseudo-discussion avant suppression de l’article était toute aussi caricaturale. Je n’y ai pas été convié et mis devant le fait accompli.
Suite à la parution d’un article dans la revue Nexus en juillet 2023 (journal d’envergure national qui contrôle rigoureusement les sources), j’ai décidé de rédiger une fiche sur la Bioélectronique de Vincent, en prenant soin de respecter les directives Wikipedia, de citer quantités de sources scientifiques et de faire preuve de neutralité.
Ne conviendrait-il pas, de fait, de respecter la charte Wikipedia ? La Bioélectronique de Vincent ayant fait l'objet d'une dizaine de livres en français et d'au moins une thèse en médecine, elle méritait évidemment un article.
Vous estimez (et c’est votre droit-préjugé) qu'il s'agit d'une pseudo-science (et j'en parlais justement dans l’article) mais – vu le nombre des écrits scientifiques cités – la charge de la preuve n’appartient-elle pas à ceux qui visent la censure ? Avez-vous au moins eu la curiosité de suivre les liens ? Dommage car vous y auriez trouvé de belles formules de chimie et de mathématiques…
Sans compétence sur le sujet de l’eau, comme vous l’avouez vous-même, de quel droit remettez-vous en cause les travaux du Pr József Országh (1937-2020), ancien professeur de la Faculté des Sciences de Chimie et Physique appliquée de l’Université de Mons-Hainaut en Belgique ou encore d’Alain Fougerousse, ancien directeur de la faculté de chimie de Strasbourg ?
Il est toujours facile – sous couvert d’un pseudonyme – de s'ériger en juge scientiste mais la science est toute autre chose et requiert ouverture d'esprit et curiosité intellectuelle. Vous aviez en outre tout loisir de rajouter une section plus critique si vous le souhaitiez. Mais il est vrai que, pour cela, il aurait fallu étudier un minimum le sujet…
En quoi mesurer des propriétés électrochimiques (protons et électrons) d'un liquide via des électrodes serait-il d’ailleurs de la pseudo-science ? En admettant (la BEV est effectivement en dehors de la "science" validée par les multinationales et experts sous conflits d’intérêt), ses ramifications chez les experts de l’eau ou les férus de nutrition haute vitalité justifieraient déjà d’en parler. Plus de 40000 pages sur Google à "Bioélectronique" mais donc rien sur Wikipedia… Pas sûr que cette censure soit dans l’intérêt d’un site à vocation encyclopédique. Les séries TV mais pas la science de l'eau ?
Evidemment, je pourrais aussi vous remercier : les internautes curieux finiront ainsi plus facilement sur mes sites et je n'aurais pas à vérifier tous les quinze jours si un imbécile n'a pas rajouté des commentaires-préjugés déplacés. Mais voilà, j' avais une affinité avec le projet Wikipedia et le site me semblait lacunaire sans la BEV, comme si la qualité de l'eau n'était pas le sujet le plus important...
Wikipédia a pour slogan : « Le projet d'encyclopédie librement distribuable que chacun peut améliorer ». Liberté d’écrire un article sur un sujet faisant preuve d’un minimum de notoriété (livre dédié donc et/ou articles). Liberté d’améliorer chaque article tant que l’on possède des sources fiables (et non de simples préjugés ou volonté de nuisance). Où est-il question de censure parce que l’on n’est pas compétent ?
Je pensais Wikipedia objectif et à l’abri du dogmatisme mais constate ici que ce beau projet de diffusion de (toute la) connaissance est en fait sous le contrôle de petites mains aux esprits obtus qui, sous l’influence de préjugés tenaces et égotistes (« Je ne l’ai pas étudié, je n’en ai pas entendu parler donc ce n’est pas possible »), s’opposent à tout ce qui ne va pas dans le sens du système et du « scientistement correct ». Vous vous croyez sans doute éveillés alors que vous êtes profondément endormis ou en train de regarder une série, ce qui revient au même. Vous pensez peut-être constituer l’élite Wikipedia parce que vous avez suivi des études "supérieures" alors que vous avez en fait surtout subi un lavage de cerveau. J’en sais quelque chose. On se sent peut-être puissant lorsque l’on supprime le travail d’un autre mais on devrait surtout avoir du mal à se regarder ensuite dans la glace. Cela ne vous dérangerait pas de brûler des livres ?
Enfin, tout ceci n'explique pas pourquoi je n'ai pas été convié au débat avant suppression. La censure est certainement plus facile en tout petit comité nombriliste mais les tendances sectaires n’ont jamais aidé à mieux réfléchir. « Un groupe de loups, c'est une horde. Un groupe de vaches, c'est un troupeau. Un groupe d'hommes, c'est souvent une bande de cons » a dit Philippe Geluck.
Rassurez-vous, je n’écris pas ceci uniquement à votre attention et je n’attends même pas de réponse de votre part. Je prépare en fait un article dont vous serez l’un des protagonistes et qui explique – censures à l’appui (dont certainement ce message) – comment Wikipedia a insidieusement dévié de sa philosophie initiale pour devenir un vecteur du système néolibéral obscurantiste.
Cordiales salutations et bonnes séries TV !
Ma réponse fût supprimée dès le lendemain et, tant qu’à faire, mon compte “bloqué par Habertix, pour la raison suivante : Non-respect de l'obligation de transparence malgré un ou plusieurs avertissements.” Je ne pouvais plus participer à Wikipedia !
En fait de message, j’avais reçu une vague demande de précision de conflits d’intérêts éventuels, qui se terminait par “si cela vous concerne”. N’ayant aucun intérêt financier spécifique à promouvoir la BEV - dont je souligne par ailleurs les limites - je n’y avais pas répondu. Et voilà que j’étais exclu de Wikipedia ?
J’essayais évidemment d’en savoir plus mais ne reçu plus jamais de réponse de ce courageux Habertix. Un troublant commentaire de Durifon, par contre, concernant mes pseudos conflits d’intérêt : “[Si vous n’avez pas de conflits] Alors, pourquoi écrivez vous "les internautes curieux finiront ainsi plus facilement sur mes sites"
Ma réponse :
Je trouve intriguant que vous citiez un passage de mon commentaire / questionnement auprès de Kelam. Comment avez-vous eu accès à ce texte qu'il a si rapidement censuré ? Mon exclusion n'aurait-il donc rien à voir avec mes soi-disant conflits d'intérêt mais plutôt à ma réaction qui déplaît ? Ne pas être d'accord avec la censure et l'exprimer vaudrait excommunication ? Les dates en tout cas coïncident. Mon article BEV ayant été supprimé avant que je ne reçoive la demande de précision de Habertix, on ne m’a en tout cas laissé aucune chance de pouvoir me défendre. Navré mais ceci pue la magouille intra-communautaire et/ou l’égo de certains membres.
Maintenant, pour répondre à votre question. En quoi le fait d'être expert en qualité de l'eau et d'avoir écrit des articles sur le sujet de la BEV m'empêche-t-il de créer une fiche sur Wikipedia, tant que je cite quantité d'autres sources (scientifiques de surcroît) et reste neutre (je critiquais également certains aspects de la BEV) ? Faut-il donc être ignorant pour pouvoir participer ? Seuls les sujets futiles style séries TV sont-ils désormais admis ?
Un article de Wikipedia sur la BEV aurait détourné les internautes de mes propres écrits (qui ne sont pas alors sous pseudonyme) et il me semble donc avoir plutôt fait preuve ici d’abnégation, dans l'intérêt du caractère encyclopédique de Wikipedia, face à un sujet que l'on retrouve traité dans de nombreux livres et articles, dont certains très scientifiques.
Bref, la censure "scientiste" est ici démontrée et mon exclusion – liée à des considérations bassement égotistes – est évidemment inappropriée. Comme par ailleurs les directives et la philosophie Wikipedia ne sont pas respectées, nous avons là un beau petit scandale. Sous conflits d’intérêts ? Qui a donc un intérêt à ne surtout pas parler de la Bioélectronique de Vincent et de l’énergie (protons + électrons) de l’eau ?
Cordiales salutations,
Aucune réponse à ce dernier commentaire…
Wikipedia ayant censuré, la pseudo "intelligence" artificielle peut trancher. A la question "Qu'est-ce que la Bioélectronique de Vincent ?", ChatGPT répond « La "Bioélectronique de Vincent" n'est pas une discipline médicale reconnue ou une approche thérapeutique établie. Je ne suis pas en mesure de trouver des informations fiables ou des données scientifiques pour soutenir cette méthode.» Les limites, certainement, de l’intelligence artificielle : l’absence de données (et évidemment de curiosité) vis-à-vis de tout ce qui n’est pas officiellement autorisé…
« Une porcelaine dans une boutique d’éléphants ! Voilà la définition populaire que je donne à la biologie électronique ; c’est pourquoi la “science” officielle [la] méprise », écrit José-A. Giralt Gonzalez.
La mesure de l’énergie en bioélectronique via les paramètres physico-chimiques de base
Laissons Wikipedia à ses tristes dérives et revenons à notre sujet. L’énergie primordiale de toute eau, aliment ou remède se mesure de la manière la plus simple qui soit (enfin presque) via des électrodes (correctement calibrées) :
- le potentiel acido-basique ou potentiel hydrogène, plus connu sous son petit nom de pH : variant entre 0 à 14, il indique la richesse ou la pauvreté en protons (ions hydrogène H+) et son activité protonique, donc son facteur magnétique. Plus un liquide est acide (pH < 7,07), plus il est riche en protons et en activité protonique. Plus le liquide est alcalin (pH > 7,07), plus il est pauvre en protons et en activité, et tant pis pour le mythe de l’alcalinité bonne pour la santé ! À noter qu’un point de différence correspond à dix fois plus ou dix fois moins de protons ;
Note : Si l’Union internationale de chimie pure et appliquée indique que le mot "proton" ne devrait pas être utilisé pour désigner H+, c’est ce qui se passe le plus souvent en chimie et biochimie, dans la mesure où un atome d’hydrogène privé de son unique électron se résume à un proton. L’hydrogène est l’atome le plus simple, constituant de 92 % de l’ensemble des atomes et de 75 % de la masse de l’Univers. Il existe essentiellement sous forme diatomique pour former alors la molécule d’hydrogène H2.
- le facteur d’oxydoréduction ou rH2, nettement moins connu, voire carrément occulté: variant de 0 à 42 avec une neutralité à 28, il indique la disponibilité du milieu en électrons (e-) et donc son facteur électrique. Les aliments antioxydants (rH2 < 28) sont bons pour la santé, car ils sont riches en électrons qu’ils peuvent céder à l’organisme pour aider, notamment, à combattre les radicaux libres responsables du vieillissement. Au contraire, les eaux ou aliments oxydées captent des électrons de l’organisme et l’affaiblissent progressivement. A noter que le rH2 se calcule après mesure du potentiel redox (E) selon la formule de Joseph Országh rH2 = (33,8 × E) + 2pH pour une eau à 25°C.
- un autre paramètre qualitatif est la résistivité (rhô), le contraire de la conductivité. Moins il y a de minéraux et moins le courant passe ce qui, au regard de la pollution électromagnétique, est toujours une bonne idée. Les minéraux des eaux sont également mal assimilés (nous sommes hétérotrophes !) et requièrent également de l’énergie pour être éliminées, via notamment un surtravail des reins.
- la quantification énergétique de Vincent (W) est un autre facteur. Ce dernier, «malheureusement oublié par beaucoup d’auteurs », est pour Yann Olivaux « le plus globalisant et le plus pertinent pour caractériser une eau » (La Nature de l’eau). On l’exprime en μwatts par la formule W = (A : rhô) × (rH2 - 2pH)2 où A est une constante (875 à 25 °C). W de Vincent mesure la puissance dissipative de l’eau : plus une eau possède un W faible et plus elle est en mesure de préserver son énergie.
Selon la définition du naturopathe Roger Castell dans son livre référence La bioélectronique Vincent (Ed. Dangles), « la bioélectronique se fonde sur l’étude des charges magnétiques positives des protons et des charges négatives des électrons. Elle s’intéresse donc à la composition physique et atomique de la matière vivante et aux interactions électromagnétiques. Elle se situe bien au-delà de la composition moléculaire généralement utilisée en biologie. Elle permet donc d’élargir et de mieux comprendre tous les phénomènes liés à la vie ».
L’énergie, premier nutriment !
« Tout est énergie », déclare la physique quantique, mais il nous manque encore le réflexe de rechercher cette énergie dans ce que nous buvons ou consommons. Tout devrait idéalement y être énergie mais, dans les faits, la malbouffe (oxydée) nous bouffe…
Selon les mesures de la Bioélectronique, les aliments naturels sont toujours légèrement acides et antioxydants. Au contraire, les aliments industriels raffinés sont généralement moins acides, voire alcalins comme le sucre blanc 100% saccharose ou le lait pasteurisé UHT – et nettement plus oxydés. Grâce à la BEV, on constate également une dégradation énergétique entre, par exemple, un fruit issu de l’agriculture biologique et le même fruit issu de l’agriculture productiviste gavé de pesticides, ou encore entre un aliment frais et un aliment mis en conserve. On s’en doutait un peu mais la bioélectronique de Vincent le confirme : l’absence d’énergie caractérise trop souvent l’alimentation moderne.
Les meilleurs aliments (situés dans le "Trapèze vital") sont par contre toujours légèrement acides et très antioxydants, tout comme d’ailleurs l’eau hydrogénée (sans modification du pH et donc sans nocivité, au contraire des eaux ionisées alcalines).
Louis-Claude Vincent fut professeur en hygiène alimentaire à l’École d’anthropologie de Paris entre 1955 et 1960 mais ses travaux ne sont plus du tout enseignés dans les écoles de nutrition. « Rien de ce qui est digne d’être connu ne peut s’enseigner », disait Oscar Wilde, et un nutritionniste formé à l’énergie des aliments aura en effet plus de mal à travailler pour les industriels de la malbouffe.
L’énergie, première médecine !
La médecine traditionnelle chinoise parle d’énergie originelle Jing 精 et d’énergie vitale Qi气, mais la médecine occidentale n’a que faire de ce qui la dépasse. Tout traitement devrait renforcer notre énergie mais, dans les faits, l’allopathie affaiblit. « Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout », aurait dit Pasteur à la fin de sa vie, reconnaissant ainsi s’être trompé. Si cette citation relève peut-être du mythe, les dégâts énergétiques de la vaccination, des médicaments ou de la pasteurisation des aliments sont réels. Pasteur, chimiste, avait biologiquement tout faux mais ses produits sont toujours considérés comme la panacée en matière d’hygiène et de santé. Parce qu’ils affaiblissent le terrain et sont donc rentables ? Un médecin formé à la bioélectronique aura en tout cas plus de mal à travailler avec les laboratoires pharmaceutiques.
« Avec le phare bioélectronique, le médecin sait où il est, voit où il va et connaît à chaque instant ce qu’il doit faire pour rétablir l’équilibre avec quasi-certitude. Avec la bioélectronique, la médecine devient une véritable science, valable pour tous les organismes et toutes les maladies qui sont des déviations bioélectriques du pH, du rH2 et du rhô », écrit le Dr Picard de Moulin.
Faire de la médecine une véritable science, c'est-à-dire une science fiable pour maintenir en bonne santé et non pas uniquement abrutir le terrain à coup de médicaments synthétiques ? On comprend que cela puisse en déranger certains... La Bioélectronique de Vincent, en allant dans le sens du terrain, se place sur le terrain du bon sens : la différence entre la santé et la maladie est moins liée aux bactéries ou aux virus qui nous entourent et nous composent qu’à l’énergie de notre système immunitaire !
« Le terrain fait tout. Et le terrain est déterminé par des facteurs électromagnétiques. Nous sommes dans un univers électromagnétique ! Nous sommes des êtres électromagnétiques ! Il faut venir à cette notion, qui est la notion atomique, celle de protons, d'électrons et de champs magnétiques et qui fait tout. Et quand nous sommes malades et bien c'est parce que nous perdons notre champs magnétique. » (Louis-Claude Vincent, Conférence 16 mai 1981)
Les 4 terrains énergétiques de la bioélectronique de Vincent (BEV)
À partir de 1952, au cours d’un voyage au Liban, Louis-Claude Vincent commence à réaliser des mesures de bioélectronique sur le sang, la salive et l’urine de malades. Vingt ans et plus de 60 000 mesures plus tard (il y en avait 1,5 million en 1985), il possède suffisamment d’éléments statistiques pour définir précisément les terrains de la santé, de la vitalité, des pathologies et de la mort :
Le terrain 1 (acide et réducteur) est celui de la vie et de la santé, la zone des forces vitales, riche en protons et en électrons. On y trouve les algues vertes, les microbes utiles, l’eau de qualité et les aliments les plus vitalisants pour l’organisme;
Le terrain 2 (acide et oxydé), zone des forces de conservation de la matière organique, comporte beaucoup de protons mais peu d’électrons. C’est le terrain des champignons, mycoses et antibiotiques, mais aussi celui de la malbouffe industrielle. Aucune eau naturelle n’existe sur ce terrain ;
Le terrain 3 (alcalin et oxydé), zone des forces de dégradation de la vie, comporte peu de protons et peu d’électrons. C’est le terrain des virus et des vaccins1, un milieu favorable aux maladies de civilisation, à la dégénérescence et aux cancers. On y retrouve l’eau du robinet traitée et stérilisée (chlore-ozone) ;
Le terrain 4 (alcalin et réducteur), zone des forces de décomposition organique, comporte peu de protons mais beaucoup d’électrons. C’est un milieu favorable aux algues brunes, aux maladies infectieuses et aux microbes pathogènes. C’est le terrain des eaux stagnantes et polluées, mais également des eaux ionisées alcalines.
Le Bioélectronigramme reprend ces 4 terrains et permet de positionner les eaux, les aliments ou encore les remèdes, permettant immédiatement de savoir les produits énergétiques des produits à éviter. Ce n’est en fait pas tant la BEV théorique que le Bioélectronigramme - concrètement pratique - qui dérange peut-être le plus ! Avec le pH en ordonnées et le rH2 en abscisse, on voit immédiatement ce qui nous est bénéfique ou affaiblit notre terrain. Et l'on constate également les différences énergétiques entre un aliment frais de l'agriculture biologique et le même de l'agriculture productiviste cuit ou mis en conserve...
La Bioélectronique de Vincent décrédibilisée à cause de la NASA ?
La BEV serait-elle trop simple, voire simpliste ? Selon l'association de Bioélectronique de Vincent, la NASA ne s’y serait pourtant pas trompée et, sans accorder le moindre crédit à Vincent, aurait déposé un brevet inspiré de ses travaux afin de mesurer facilement – via les paramètres du sang, de la salive et de l’urine – la bonne santé de ses astronautes. Utiliser la BEV au plus haut niveau scientifique dans l’espace sans y accorder le moindre intérêt sur Terre ? Nous ne serions pas à un scandale près…
Le fait que l'on ne puisse pas prouver le lien entre la BEV et la NASA (l'agence américaine n'ayant donc pas souhaité créditer Louis-Claude Vincent pour ses mesures corporelles) prête curieusement le flanc à l'essentiel des critiques reçues, selon un bien curieux raisonnement : vous ne pouvez pas démontrer le lien donc ce lien n'existe pas donc vous racontez n'importe quoi donc la BEV ne peut pas être crédible !
Ce raisonnement n'a strictement rien de scientifique ou même d'intellectuellement honnête mais il permet en effet de rejeter une approche novatrice à peu de frais : si la NASA ne l'utilise finalement pas, c'est que cela ne vaut rien !
On aura beau démontrer que des électrodes (de qualité et correctement calibrées) ne mentent pas ou que la réalité électromagnétique de l'univers est un fait scientifique, rien n'y fait : la Bioélectronique de Vincent sera critiquée et immédiatement rejetée sur la base de son histoire officielle plutôt que sur ses mesures concrètes et pratiques...
La Bioélectronique de Vincent (BEV) est-elle scientifique ?
Nous y avons déjà répondu dans la section Questions-Réponses. Ajoutons-y quelques éléments.
Selon l'association de BEV (où la mention de la NASA a de fait été retirée) "de nombreuses recherches ont précédé les travaux de Louis Claude Vincent et ont permis la création de la bioélectronique. Parmi ces scientifiques citons : Georg Simon Ohm (1789-1854) pour la résistivité, Soren Sorensen (1868-1939) pour le potentiel acido-basique, Walter Nernst (1864-1941) pour le potentiel rédox... mais également Charles Laville, Fred Vlès, etc…"
Là encore, les sceptiques professionnels pourront perdre leur temps à essayer de nier tout lien ou critiqueront le fait que la BEV cherche maintenant la caution d'éminents scientifiques...
Cessons là ces débats stériles et revenons une fois au bon sens terre-à-terre : si le b.a.-ba. scientifique des protons et des électrons (mesurées donc par des électrodes) peut me permettre d'aller mieux en m'aidant à sélectionner facilement les meilleurs eaux, aliments ou remèdes - ceux qui m'apporteront logiquement le plus d'énergie - pourquoi donc m'en priver ? Le ressenti ne prime-t-il pas sur la compréhension théorique ? « Nier parce qu'on n'explique pas, rien n'est moins scientifique » aurait dit le mathématicien, physicien théoricien et philosophe des sciences Henri Poincaré.
En l'occurrence, avec la BEV, certains souhaiteraient plutôt de toute évidence ne rien expliquer et surtout ne rien comprendre. Le "scientisme" domine et est entré dans l'obscurantisme des conflits d'intérêt... Prendre enfin au sérieux la Bioélectronique de Vincent et donc ses avertissements contre la malbouffe, l'eau chlorée ou en plastique ou encore les traitements allopathiques et les vaccins serait évidemment désastreux pour les affaires et le Système dans son ensemble.
Nous savons instinctivement que cela n'est pas très bon mais quel scandale si tout était scientifiquement démontré, si l'énergie retrouvait enfin sa vraie place. Bref, les intérêts économiques exigent que la Bio-électronique ne soit surtout pas considérée comme scientifique et Louis-Claude Vincent n'est malheureusement pas près d'avoir une rue à son nom !
En savoir encore plus sur la Bioélectronique de Vincent (BEV):
Article de base pour éviter les arnaques de l'eau
Article de fond sur les derniers scandales de l'eau
Les 3 problématiques et solutions Eau : www.solutionsbio.ch/eau
Vidéo Conférence-Tutoriel : La vraie qualité de l’eau (21’58) Le portail de référence sur l’eau : www.lemieuxetre.ch/eau
La Fiche pdf : La Bioélectronique de Vincent (BEV)
Mon livre La qualité de l’eau (Ed. Médicis, 2020) Le livre de Roger Castell La bioélectronique Vincent (Ed. Dangles, 2011)
La conférence de Louis-Claude Vincent à la Mairie de Tours le 16 mai1981
Synthèse pdf de 15 pages: La qualité de l'eau et le plaisir de boire
Me contacter pour une analyse gratuite et experte de votre situation : +41 (0)76 532 8838 (rappel possible), sms ou mail
Comme vous, j'ai tenté un dialogue (de sourd, hélas, comme vous aussi !) avec Wikipédia.
La page d'origine existe encore parmi les pages "censurées" recensées ou sur d'autres sites :
https://fr.metapedia.org/wiki/Louis-Claude_Vincent
http://medbox.iiab.me/kiwix/wikipedia_fr_medicine_maxi_2019-12/A/Louis-Claude_Vincent
https://plus.wikimonde.com/wiki/Louis-Claude_Vincent
Voici 4 articles scientifiques sur la bio-électronique de Louis Claude Vincent (parus dans des revues): http://www.eautarcie.org/doc/article-leau-comme-systeme-redox-fr.pdf
https://www.eautarcie.org/doc/article-bioelectronique-concepts-base-fr.pdf
https://www.eautarcie.org/doc/article-aspects-physico-chimiques-bioelectronique-fr.pdf
http://www.eautarcie.org/doc/article-reactions-redox-acid-base-fr.pdf plus un article passionnant pour un électrochimiste s'il y en a un parmi les lecteurs :
http://www.eautarcie.org/doc/article-memoire-de-leau-bioelectronique-fr.pdf
le groupe Fischer (instruments scientifiques de laboratoire) commercialise un banc de mesure de laboratoire selon la méthode Vincent : https://www.fishersci.fr/shop/products/ph-ec-meter-bio-electronic-kit/11742029
il existe tout un historique passionnant du matériel de mesure de Louis Claude Vincent, voici un exemple de bio-électronimètre Vincent (description photos et histoire) pour la mesure isotherme anaérobie des fluides corporels (salive, sang,…
Très belle synthèse. Merci pour ce plaidoyer qui remet les pendules à l'heure, en précisant la valeur de la bio-électronique et les obstacles présentés par des manipulateurs pour la discréditer. Mais la vérité finira par triompher, puisque c'est l'intérêt de l'Humanité qui mérite d'appliquer les règles de la santé pour éviter les risques des maladies et de la dépendance, en augmentant l'énergie, pour une longévité naturelle vraiment active.
Excellent résumé et surtout explication compréhensible de la BEV.
Et pour ceux qui croient encore que Wikipedia est 1 encyclopédie libre et intègre, l'article permettra de les desciller.